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Les anticancéreux oraux
Un regard différent N°8 Septembre 2014 Avec ce nouveau numéro d'Onco News, toute la CAHPP se joint à moi pour vous souhaiter une excellente rentrée 2014.
Dans cette lettre en Cancérologie, la CAHPP réaffirme son rôle de centrale de conseil et de référencement souhaitant apporter son expertise en matière d'optimisation des achats et des coûts afin que vous, adhérent, puissiez vous consacrer à votre métier : le soin et l'accom-pagnement du patient.
Nous avons choisi, pour cette rentrée 2014, de faire un focus sur les Anticancéreux Oraux. En effet, d'ici à 2020, la proportion de ces traitements médicamenteux par voie orale pour-rait passer des 25 % actuels à 50 % et les chimiothérapies intraveineuses diminuer de 25 % (Unicancer 16/10/2013).
Ces évolutions impactent les établissements de santé qui doivent repenser la coordination avec la médecine de ville pour le suivi du malade à domicile (pharmacien, médecin généra- liste…), ainsi qu'une nouvelle relation avec le patient, qui devient davantage acteur de son traitement. Les prescriptions des traitements par voie orale demandent des consultations plus longues afin d'améliorer l'observance et d'expliquer les éventuels effets indésirables.
Ces traitements à schémas posologiques parfois complexes ont fait l'objet d'alertes de phar-macovigilance (bulletin vigilances n°59 ansm 10/2013). L'agence incite les professionnels de santé à s'assurer de la bonne compréhension du schéma posologique prescrit et à proposer des outils nécessaires à la bonne observance du traitement.
C'est tout l'objet de ce numéro qui répertorie des fiches d'information (caractéristiques, indi-cations, posologie, principales recommandations) sur les molécules de chimiothérapie orale (chimiothérapies conventionnelles-cytotoxiques, chimiothérapies ciblées-cytostatiques et hormonothérapie pour les cancers hormonaux dépendants sein/prostate), leur prix et circuits de délivrance ville ou hôpital, leurs interactions médicamenteuses (ansm janvier 2014) et leurs principaux effets secondaires indésirables ainsi que les conduites à tenir en cas de manifestation .
Cordialement vôtre, Yvon BERTEL VENEZIAPrésident Directeur Général CAHPPDirecteur de la publication Onconews N°8 Septembre 2014 1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales . 4 METHOTREXATE ® . 18 NAVELBINE ® . 21NEXAVAR ® . 22PURINETHOL ® . 23 VESANOID ®. 34XALKORI ®. 35 2 Circuit de dispensation - Ville et hôpital . 423 Interactions médicamenteuses : mise à jour ANSM janvier 2014 . 50 4 Principaux effets secondaires et conduite à tenir . 61 1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales . Comprimés blancs, sous plaquettes thermoformées, dosés à : - 5 mg (boite de 30) - 10 mg (boite de 30) . A conserver à l'abri de la lumière et de l'humidité, à une température inférieure à 25°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
L'evérolimus est un inhibiteur mTor indiqué dans: ►Le Cancer du sein avancé avec récepteurs hormonaux positifs, HER2/neu négatif, en association avec
l'exémestane, chez les femmes ménopausées sans atteinte viscérale symptomatique, dès récidive ou pro-
gression de la maladie et précédemment traitées par un inhibiteur non-stéroïdien de l'aromatase.
Les Tumeurs neuroendocrines d'origine pancréatique non résécables ou métastatiques bien ou moyen-
nement différenciées avec progression de la maladie chez l'adulte.
Le Cancer du rein avancé chez les patients ayant progressé sous ou après une thérapie ciblée anti-VEGF.
. 10 mg / jour
. 5 mg / jour (A l'instauration du traitement, en cas d'insuffisance hépatique modérée (classe B de Child-Pugh)
En cours de traitement, réduction de la posologie possible en présence de neutropénie, d'anémie ou de throm-
bopénie.
Les comprimés doivent être pris en une prise unique, à la même heure, pendant ou en dehors des repas.
Les comprimés doivent être avalés entiers avec un verre d'eau et ne doivent pas être mâchés ou écrasés.

. Il est recommandé de manipuler les comprimés avec des gants.
. Utilisation d'un contraceptif pendant la durée du traitement.
. Boire d'avantage pour maintenir le bon fonctionnement du rein.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
En raison de son métabolisme (substrat et inhibiteur des CYP 3A4 et 2D6), éviter de manger des pample-
mousses ou de boire du jus de pamplemousse pendant le traitement.
Ce médicament peut interagir avec d'autres médicaments, plantes ou tisanes. Le millepertuis étant un induc-
teur du cytochrome p450, éviter de le consommer (gélule, résine, tisane…)
. Contactez rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux (fièvre, frissons),
- signes hémorragiques (apparition de selles noires, de saignements de nez et crachats comportant du sang), - d'essoufflement, d'hypoxie, épanchement pleural, toux. 1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 ALKERAN® MELPHALAN (HAC PHARMA)
. Comprimés blancs dosés à 2 mg (flacon de 50) . A conserver à une température comprise entre + 2 °C et + 8 °C (au réfrigérateur). Ne pas congeler.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le melphalan est un agent alkylant de la famille des moutardes azotées.
Il est indiqué dans: ►Le myélome multiple, en association avec la prednisone.
L'adénocarcinome ovarien, dans les stades avancés.
Le Carcinome du sein, dans les stades avancés ou en complément d'un traitement chirurgical.
. Myélome multiple : 0,15 à 0,25 mg/kg/jour cure de plusieurs jours avec une posologie quotidienne
fractionnée en plusieurs prises.
. Adénocarcinome ovarien : 0,2 mg/kg/jour pendant 5 jours, toutes les 4 et 8 semaines.
. Carcinome du sein : 0,15 mg/kg/jour pendant 4 à 6 jours, toutes les 6 semaines.

Les patients insuffisants rénaux devront faire l'objet d'une surveillance plus étroite et d'une adaptation de posologie du fait du risque de survenue d'insuffisance médullaire.
La prise 15 à 30 minutes avant un repas est préférable.
Les comprimés ne doivent pas être croqués ou écrasés.
. Il est recommandé de manipuler les comprimés avec des gants.
. Utilisation d'un contraception efficace.
. Boire d'avantage pour maintenir le bon fonctionnement du rein.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
. Contactez rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux (fièvre, frissons),
- signes hémorragiques (apparition de selles noires, de saignements de nez et crachats comportant du sang), - difficulté à respirer ou toux anormale (risque de fibrose pulmonaire).
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales . Gélules bleues dosées à 40 mg (boite de 5) . A conserver dans l'emballage d'origine, à une température inférieure à 25°C.
. Disponible uniquement dans les pharmacies hospitalières.
La lomustine est un agent alkylant indiqué dans: ►Les Tumeurs cérébrales primitives et secondaires.
►Les Cancers du poumon (épidermoïdes et à petites cellules).
►Les Lymphomes hodgkiniens et non hodgkiniens.
►Les Mélanomes malins
. En mono chimiothérapie: 100 à 130 mg/m2 en une seule prise toutes les 6 semaines ou 75 mg/m2 en une
seule prise toutes les 3 semaines.
. En poly chimiothérapie: 70 à 100 mg/m2 toutes les 6 semaines selon la pathologie traitée.
Prise de préférence le soir ou 3 heures après un repas en une seule prise.
Les gélules ne doivent pas être ouvertes, ni mâchées.
. Utilisation d'un contraceptif pendant la durée du traitement.
. En cas d'oubli d'une prise le jour prévu, elle doit se faire à l'heure habituelle le jour suivant.
. BELUSTINE® est déconseillé si la clairance de la créatinine est < 60 ml/min.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- fièvre/signes infectieux pour réaliser une NFS en urgence,
- signes hémorragiques, - modification ou perte de la vision, - toux anormale ou difficulté à respirer.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 CAPRELSA® VANDETANIB (ASTRA ZENECA)
. Comprimés blancs, sous plaquettes thermoformées, dosés à : - 100 mg (boite de 30) - 300 mg (boite de 30) . A conserver à une température inférieure à 25°C et à l'abri de l'humidité.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
CAPRELSA® est un inhibiteur des voies de signalisation initiées par les récepteurs à activité tyrosine kinase.
Son activité s'exerce au niveau : - des récepteurs du facteur 2 de croissance de l'endothélium vasculaire (VEGFR-2) - des récepteurs du facteur de croissance épidermique (EGFR = Epidermal Growth Factor Receptor) - des récepteurs RET (RET = Rearranged during Transfection).
CAPRELSA® est indiqué dans le traitement du cancer médullaire de la thyroïde (CMT) agressif et symp-
tomatique chez les patients avec une maladie localement avancée non opérable ou métastatique.

Chez les patients pour lesquels la mutation réarrangée au cours d'une transfection (RET) n'est pas connue ou est négative, l'éventualité d'un bénéfice plus faible doit être prise en considération avant la décision d'un traitement individuel . La dose de vandétanib recommandée est de 300 mg par voie orale en une prise par jour, à la même heure,
pendant ou en dehors des repas.
. La dose devra être ajustée par palier de 100 mg en fonction de la tolérance individuelle au traitement afin de pouvoir gérer les effets indésirables. La dose quotidienne minimale recommandée est de 100 mg.
. Les comprimés ne doivent pas être broyés, écrasés ou coupés.
. CAPRELSA® doit être pris avec un grand verre d'eau non gazeuse.
. Utilisation d'un contraceptif pendant la durée du traitement.
. En cas d'oubli d'une prise de moins de 12 heures, le patient doit prendre la dose.
. En cas d'oubli d'une prise de plus de 12 heures, le patient ne doit pas prendre la dose oubliée ni doubler la
prise suivante et prendre la dose habituellement prescrite le jour suivant.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux pour réaliser une NFS en urgence,
- modifications de la vue ou de la structure de la cornée, - troubles neurologiques (paresthésies, dépression, somnolence ou insomnie), - insuffisance rénale.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales CELLTOP® ETOPOSIDE (BAXTER HOPITAL)
. Capsules sous plaquettes thermoformées, dosées à : - 25 mg (boite de 40) - 50 mg (boite de 20) . A conserver à une température inférieure à 25°c.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le CELLTOP® est un inhibiteur de la topoisomérase II. Il possède une activité antitumorale à large spectre, sur les tumeurs d'origine hématopoïétique et sur les tumeurs solides de différentes origines.
Il a démontré son activité en mono chimiothérapie. Toutefois, il n'est habituellement utilisé qu'en association, dans les protocoles de poly chimiothérapie, dans : ►les carcinomes embryonnaires du testicule.
►Les cancers bronchiques à petites cellules.
►Les choriocarcinomes placentaires.
►Les lymphomes malins hodgkiniens et non hodgkiniens.
►Les leucémies aiguës : dans le traitement d'induction de la rémission complète des formes en rechute et dans
certaines modalités de traitement d'entretien de la rémission complète.
►Les cancers du sein antérieurement traités.
L'étoposide est administré par voie orale, en général à des doses doubles de celles utilisées par voie parenté- rale soit :
. Soit 80 à 300 mg/m2/jour en cures de 3 à 5 jours, tous les 21 à 28 jours
. Soit en cure de 50 à 100 mg/m2/jour pendant 21 jours par mois, voire en administration continue
Préférer le fractionnement en faibles doses en 2 ou 3 prises par jour.
Les capsules ne doivent pas être mâchées, écrasées ou coupées. Elles doivent être absorbées avec un grand
verre d'eau.
Chez l'insuffisant rénal : Ajustement posologique nécessaire quand la clairance à la créatinine est infé-
rieure à 60 ml/min/1,73 m2

. Intolérance au fructose en raison de la présence de sorbitol.
. Utilisation d'un contraceptif pendant la durée du traitement jusqu'à 6 mois après l'arrêt du traitement.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de doses supplémentaires ni doubler la prise suivante.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- fièvre/signes infectieux pour réaliser une NFS en urgence,
- signes hémorragiques.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 ENDOXAN® CYCLOPHOSPHAMIDE (BAXTER HOPITAL)
. Comprimés blancs, sous plaquettes thermoformées, dosés à 50 mg (boite de 50) . A conserver dans un endroit frais et sec, à une température inférieure à 25°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le cyclophosphamide est un agent alkylant antinéoplasique et immunomodulateur, appartenant à la famille des moutardes azotées, qui agit en empêchant la séparation et la réplication de l'ADN.
Il est indiqué en chimiothérapie antinéoplasique dans : ►Le Traitement adjuvant et en situation métastatique des adénocarcinomes mammaires,
►Le Traitement des cancers ovariens, des cancers bronchiques notamment à petites cellules,
►Les séminomes et carcinomes embryonnaires testiculaires,
►Les cancers de la vessie,
►Les lymphomes malins hodgkiniens et non hodgkiniens, des myélomes multiples, des leucémies aiguës
L'administration se fait en une prise par jour le matin à jeun:
. Soit un cycle court de 1 à 14 jours répété toutes les 2 à 4 semaines (100 à 200 mg/m2/jour ou 2,5 à 5 mg/
. Soit en traitement prolongé, sans interruption (40 à 100 mg/m2/jour).
Dans la prise en charge des leucémies lymphoïdes chroniques , des lymphomes non hodgkiniens indolents, des traitements plus intensifs peuvent être proposés chez des sujets jeunes associant la fludarabine (250mg/m2) à l'ENDOXAN® pendant trois jours.
Adaptation posologique nécessaire en cas d'insuffisance hépatique ou rénale.
Les comprimés ne doivent pas être broyés, écrasés ou coupés et doivent être administrés le matin à jeun
avec un grand verre d'eau.

. Utilisation d'un contraceptif pendant la durée du traitement. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
. Pendant le traitement , il est important de boire d'avantage pour le bon fonctionnement du rein; des boissons alcalines (Vichy St Yorre) sont recommandées.
. Contactez rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux (fièvre, frissons),
- anurie, hématurie ou douleur vésicale,
- difficulté à respirer ou modification du rythme respiratoire.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales FLUDARA® FLUDARABINE (MSD)
. Comprimés roses saumon, sous plaquettes thermoformées, dosés à : - 10 mg (boite de 20) - 10 mg (boite de 15) . Les flacons sont dotés d'une fermeture de sécurité enfant.
. A conservez à une température inférieure à 25°C, à l'abri de la lumière et de l'humidité.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
La fludarabine est un agent antinéoplasique et immunomodulateur, analogue de l'adénine dont le métabolite actif inhibe la synthèse de l'ADN, de l'ARN et des protéines, indiqué dans: . le traitement de la leucémie lymphoïde chronique (LLC) à cellules B, chez les patients ayant des réserves
. Le traitement en première ligne avec FLUDARA® 10 mg doit uniquement être initié chez les patients en stade avancé de la maladie, Raï stade III/IV (Binet stade C) ou Raï stade I/II (Binet stade A/B), lorsque le patient présente des symptômes associés à la maladie ou une maladie en progression.
40 mg/m2/jour, administrée en cure de 5 jours consécutifs tous les 28 jours.
Réduction des doses de 50% si la clairance de la créatinine est comprise entre 30 et 70ml/min.
Contre-indiqué si la clairance de la créatinine < 30ml/min.
La prise peut se faire à jeun ou au cours d'un repas avec un grand verre d'eau sans mâcher ni casser les com-primés.
. Une contraception efficace chez la femme et chez l'homme devra être mise en place pendant le traitement et jusqu'à 6 mois après l'arrêt du traitement (risque : altérations du génotype).
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
. Administration avec des précautions plus importantes chez les sujets de plus de 75 ans.
. Contactez rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux (fièvre, frissons),
- signes hémorragiques,- perte ou changement de la vision, - difficultés à respirer, toux anormale (possible pneumopathie interstitielle), gonflement des jambes ou douleur à la poitrine.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 GLIVEC® IMATINIB (NOVARTIS)
. Comprimés ronds, de couleur jaune très foncé à brun orangé, sous plaquettes thermoformées, dosés à : - 100 mg (boite de 60) - 400 mg (boite de 30) . A conserver à une température inférieure à 25°C, à l'abri de l'humidité.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
L'imatinib est un inhibiteur puissant de la tyrosine kinase, qui inhibe sélectivement la prolifération et entraine l'apoptose des cellules Bcr-Abl positives
présentes dans 90 à 95% des leucémies myéloïdes chroniques.
GLIVEC® est indiqué dans le traitement :
► des patients adultes et enfants atteints de leucémie myéloïde chronique (LMC) chromosome Philadelphie (bcr-abl) positive (Ph+) nouvelle-
ment diagnostiquée lorsque la greffe de moelle osseuse ne peut être envisagée comme un traitement de première intention.
► des patients adultes et enfants atteints de LMC Ph+ en phase chronique après échec du traitement par l'interféron alpha, ou en phase accé-
lérée ou en crise blastique.
► des patients adultes et enfants atteints de leucémie aiguë lymphoïde chromosome Philadelphie positive (LAL Ph+) nouvellement diagnosti-
quée en association avec la chimiothérapie.
► des patients adultes atteints de LAL Ph+ réfractaire ou en rechute en monothérapie.
► des patients adultes atteints de syndromes myélodysplasiques/myéloprolifératifs (SMD/SMP) associés à des réarrangements du gène du

PDGFR (platelet-derived growth factor receptor).
► des patients adultes atteints d'un syndrome hyperéosinophilique (SHE) à un stade avancé et/ou d'une leucémie chronique à éosinophiles
(LCE) associés à un réarrangement du FIP1L1-PDGFRα.
► des patients adultes atteints de tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST – gastrointestinal stromal tumours) malignes Kit (CD 117) posi-
tives non résécables et/ou métastatiques.
► adjuvant des patients adultes présentant un risque significatif de rechute après résection d'une tumeur stromale gastro-intestinale GIST Kit
(CD117) positive. Les patients qui présentent un faible ou très faible risque ne doivent pas être traités.
► des patients adultes atteints de dermatofibrosarcome protuberans (DFSP ou maladie de Darier-Ferrand) non résécable et patients adultes
atteints de DFSP en rechute et/ou métastatique ne relevant pas d'un traitement chirurgical.
La posologie est comprise entre 400 et 800 mg/j.
La dose prescrite doit être administrée avec un grand verre d'eau, au cours d'un repas , en position assise, pour réduire le risque d'irritations gas-
tro-intestinales.
Les doses de 400 mg ou 600 mg devront être administrées en 1 prise par jour, tandis que la dose journalière de 800 mg devra être répartie en 2
prises de 400 mg par jour, matin et soir.
Pour les patients qui ne peuvent pas avaler les comprimés, il est possible de disperser ces comprimés dans un verre d'eau minérale ou de
jus de pomme. Le nombre de comprimés requis devra être placé dans un volume de boisson approprié (approximativement 50 ml pour
un comprimé à 100 mg et 200 ml pour un comprimé à 400 mg) et être remué avec une cuillère.
La suspension devra être bue immédiatement
après désagrégation complète du (des) comprimé(s).
Les comprimés ne doivent pas être broyés, écrasés ou coupés.
. En raison de son métabolisme (substrat et inhibiteur des CYP 3A4 et 2D6), éviter de manger des pamplemousses ou de boire du jus de pample- mousse pendant le traitement.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante. . Contacter rapidement le médecin en cas de :
- fièvre/signes infectieux pour réaliser une NFS en urgence,
- signes hémorragiques.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales . Gélules violettes transparentes, en blister de 5 gélules dosées à 100 mg (boite de 25) . A conserver à une température inférieure à 25°C.
. Disponible uniquement dans les pharmacies hospitalières.
L'altrétamine est un agent alkylant indiqué en 2ème ligne du cancer de l'ovaire et du cancer bronchique à
petites cellules.

Les posologies habituelles sont les suivantes :
. En monothérapie, la dose habituelle est de 260 mg/m² par jour, pendant 14 à 21 jours consécutifs. A
répéter tous les 28 jours.
. En cas d'association, la dose indiquée en monothérapie peut être diminuée en fonction de l'association avec
un ou plusieurs cytostatiques ou cytolytiques, habituellement 150 mg/m²/j pendant 8 à 14 jours. A répéter
tous les 28 jours.
Les gélules ne doivent pas être ouvertes, ni mâchées.
La dose totale quotidienne doit être répartie en plusieurs prises données après les repas et avant le coucher.
. Utilisation d'un contraceptif pendant la durée du traitement.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux pour réaliser une NFS en urgence,
- apparition de selles noires, de saignements de nez et crachats comportant du sang, - troubles neurologiques (paresthésies, hallucinations, dépression, somnolence ou insomnie).
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 HYCAMTIN® TOPOTECAN (GSK)
. Gélules, sous plaquettes thermorformées: - blanches, dosées à 0.25 mg (boite de 10) - roses, dosées à 1 mg (boite de 10) . A conserver au réfrigérateur. Ne pas congeler.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le topotécan est un agent antinéoplasique, inhibiteur de la topoisomérase I, enzyme qui joue un rôle essentiel
dans la réplication de l'ADN. L'inhibition de la topoisomérase I par le topotécan se traduit au niveau cellulaire par
l'induction de lésions simple-brin de l'ADN.
La forme orale est indiquée en monothérapie dans le traitement du cancer du poumon à petites cellules en
rechute (lorsque la réintroduction de la première ligne de traitement n'est pas appropriée.)
La dose initiale recommandée de topotecan gélule est de 2,3 mg/m² de surface corporelle/jour administrée
pendant 5 jours consécutifs, avec un intervalle de 3 semaines entre le début de chaque cure.
La dose peut être réduite jusqu'à 1.5 mg/m2/j selon la tolérance au traitement.

S'il est bien toléré, le traitement pourra être poursuivi jusqu'à progression de la maladie.
L'administration d'une cure sera reportée si les chiffres du bilan sanguin demeurent inférieurs aux seuils prévus.
Une adaptation des doses peut être nécessaire en cas d'insuffisance rénale.
Les gélules d'HYCAMTIN® doivent être avalées entières, en une prise par jour, pendant ou en dehors
des repas.
Les gélules ne doivent pas être ouvertes, ni mâchées.
. Utilisation d'un contraceptif pendant la durée du traitement.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- diarrhées ou vomissements sévères,
- apparition de selles noires, de saignements de nez et crachats comportant du sang (hémorragie),- signes infectieux.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales . Gélules roses et vertes sous plaquettes thermoformées, dosées à 500 mg (boite de 20) . A conserver à une température inférieure à 25°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
L'hydroxycarbamide est un antimétabolite inhibant la synthèse de l'ADN par inhibition de la ribonucléotide réduc-tase.
Il est indiqué dans le traitement des leucémies myéloïdes chroniques, des polyglobulies de Vaquez, des throm-
bocytémies essentielles et des splénomégalies myéloïdes.
30 à 50 mg/kg/jour en traitement d'attaque puis 15 à 30 mg/kg/jour en entretien.
En 1, 2 voire 3 prises par jour selon la dose quotidienne.
Les gélules sont à prendre avec un grand verre d'eau. Si le patient n'est pas en mesure d'avaler la gélule,
son contenu peut être dispersé dans un verre d'eau et ingéré immédiatement. (manipulation avec gant
et masque).
Les gélules ne doivent pas être mâchées.
Adaptation posologique en cas d'insuffisance rénale (clairance < 30ml/min).
. Utilisation d'un contraceptif pendant la durée du traitement. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante. Prendre la dose habituellement prescrite le jour suivant.
. Pendant le traitement , il est important de boire d'avantage pour le bon fonctionnement du rein; des boissons alcalines (Vichy St Yorre) sont recommandées.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- dyspnée, signes clinique d'hyperuricémie,
- apparition de selles noires, de saignements de nez et crachats comportant du sang (hémorragie), - signes infectieux (fièvre, toux, frissons).
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 INLYTA® AXITINIB (PFIZER)
. Comprimés pelliculés, sous plaquettes thermoformées : - rouges ovales dosés à 1 mg (boite de 56) - rouges triangulaires dosés à 5 mg (boite de 56) . A conserver à une température inférieure à 25°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
L'axitinib est un inhibiteur de tyrosines kinases puissant et sélectif des récepteurs du facteur de croissance de l'endo- thélium vasculaire (VEGFR-1, VEGFR-2 et VEGFR-3). INLYTA® est indiqué dans le traitement des patients adultes atteints de cancer du rein avancé après échec
d'un traitement antérieur par sunitinib ou cytokine.

La dose initiale est de 5 mg deux fois par jour,
Un ajustement des doses par palier est fonction de la tolérance :
. En cas de tolérance de la dose initiale de 5 mg deux fois par jour sans effet indésirable de grade supérieur à 2
pendant deux semaines consécutives, la dose peut être augmentée à 7 mg deux fois par jour puis à 10 mg deux
fois par jour selon le même schéma, sauf si la pression artérielle du patient est supérieur à 150/90 mmHg ou
si le patient reçoit un traitement anti-hypertenseur.
. La prise en charge de certains effets indésirables peut nécessiter l'interruption temporaire ou définitive de
l'administration du médicament et/ou une réduction de dose. En cas de réduction, la dose d'axitinib peut être
diminuée à 3 mg deux fois par jour, puis si nécessaire à 2 mg deux fois par jour. Les doses quotidiennes pour-
ront varier de 4 à 20 mg.
Les comprimés ne doivent pas être broyés, écrasés ou coupés et avalés avec un grand verre d'eau et un
intervalle de 12 heures entre les prises.

. Utilisation d'un contraceptif pendant la durée du traitement.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
. Ne pas consommer de pamplemousse ou de jus de pamplemousse au cours du traitement.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- signes d'hypertension artérielle,
- syndrome main pied,
- douleurs abdominales intenses.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales IRESSA® GEFITINIB (ASTRA ZENECA)
. Comprimés pelliculés, sous plaquettes thermoformées dosés à 250 mg (ronds, biconvexes, gravés « IRESSA 250 » sur une face, lisse sur l'autre face ; brun) - Boite de 30 . A conserver à l'abri de la lumière et de l'humidité, à une température inférieure à 25°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le gefitinib est un agent antinéoplasique inhibiteur de la tyrosine kinase du récepteur de l'EGFR qui induit l'apop-tose des cellules tumorales exprimant ce facteur.
IRESSA® est indiqué chez les adultes dans le traitement du cancer bronchique non à petites cellules locale-
ment avancé ou métastatique avec mutations activatrices de l'EGFR-TK.
La posologie recommandée d'IRESSA® est de un comprimé de 250 mg une fois par jour au même moment
tous les jours, de préférence le matin. Il doit être pris avec un grand verre d'eau avec ou sans aliment.
Ne pas écraser ou mastiquer les comprimés.
Si l'administration des comprimés entiers n'est pas possible, les comprimés peuvent être administrés

après dispersion dans l'eau (non pétillante). Aucune autre boisson ne doit être utilisée. Sans l'écraser, le
comprimé doit être mis dans un demi-verre d'eau. Le verre doit être remué de temps en temps jusqu'à disso- lution du comprimé (cela peut prendre jusqu'à 20 minutes). La dispersion doit être bue immédiatement après dissolution totale (avant 60 minutes). Rincez correctement le verre avec un demi-verre d'eau qui doit aussi être bu. La dispersion peut être également administrée par sonde nasogastrique ou par sonde de gastrostomie.
Utiliser avec précautions en cas d'insuffisance hépatique ou d'insuffisance rénale.
. Utilisation d'un contraceptif pendant la durée du traitement. En raison de son métabolisme (substrat et inhibiteur des CYP 3A4 et 2D6), éviter de manger des pample- mousses ou de boire du jus de pamplemousse pendant le traitement.
. Chez les patients avec un génotype CYP2D6 métaboliseur lent, un traitement avec un inhibiteur puissant du CYP3A4 peut entrainer une augmentation de la concentration plasmatique du géfitinib. A l'initiation d'un traitement par un inhibiteur du CYP3A4, la survenue d'effets indésirables chez ces patients doit être étroi-tement surveillée .
. Si une dose d'IRESSA® a été oubliée, elle doit être prise aussitôt que le patient s'en souvient sauf s'il
reste moins de 12 heures avant la prise de la prochaine dose, le patient ne doit pas prendre la dose oubliée.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- troubles respiratoires (rechercher des signes de pneumopathie interstitielle),
- éruption cutanée bulleuse.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 LANVIS® THIOGUANINE (HAC PHARMA)
. Comprimés sécables à 40 mg avec fermeture de sécurité enfant (flacon de 25) . A conservez à température ambiante, à l'abri de la chaleur, de la lumière directe et de l'humidité.
. Disponible uniquement dans les pharmacies hospitalières.
La thioguanine un médicament de la famille des thiopurines, à laquelle appartiennent également la mercaptopurine et l' azathioprine qui agissent comme des antimétabolites. LANVIS® est indiqué dans le traitement d'entretien des leucémies aiguës myéloïdes.
La dose exacte et la durée du traitement seront fonction de la nature et de la posologie des autres agents cyto- toxiques associés à la prise de LANVIS®.
Chez l'adulte et l'enfant, des posologies de 60 à 200 mg/m² par jour, en une à deux prises, en traitement
continu ou intermittent.
Pas de recommandations particulières pour les sujets âgés.
La posologie sera diminuée chez les patients souffrant d'insuffisance rénale ou hépatique..
Les comprimés doivent être avalés entiers avec un verre d'eau et ne doivent pas être écrasés ou mâchés.
. l'utilisation de LANVIS® doit être évitée autant que possible pendant la grossesse, particulièrement pendant
le premier trimestre. A chaque fois, il faudra évaluer les bénéfices attendus du traitement pour la mère par rapport aux risques potentiels encourus par le fœtus. Comme lors de toute chimiothérapie cytotoxique, des précautions adéquates de contraception devront être conseillées, si l'un des partenaires est traité par LANVIS®.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- contusion ou saignement inexpliqué,
- signes d'infection,
- malaise général.
. Ce traitement est contre indiqué chez:
Les personnes atteintes d'une maladie héréditaire rare appelée syndrome de Lesch-Nyhan, dans lequel
il y a trop d'acide urique dans le sang et les personnes ayant une déficience héréditaire d'une enzyme
appelée thiopurine méthyltransférase (TPMT).
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales METHOTREXATE BELLON® METHOTREXATE (SANOFI AVENTIS)
. Comprimés de couleur jaune dosés à 2,5 mg (flacon de 20). A conserver à une température inférieure à 25°C, à l'abri de l'humidité.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le méthotrexate est un analogue naturel de l'acide folique. Il agit par inhibition compétitive de la dihydrofolate réductase (DHFR). La voie de synthèse des bases puriques et pyrimidiques constituant l'ADN est donc bloquée.
Il est indiqué dans le traitement d'entretien des leucémies aigues lymphoblastiques.
La dose de METHOTREXATE® usuelle est de 10 et 15 mg/m2 mais elle peut varier selon les protocoles.
Les comprimés doivent être avalés avec un grand verre d'eau et les comprimés ne doivent pas être broyés,
écrasés ou coupés.
La prise de METHOTREXATE® s'effectue en une prise unique, une fois par semaine (cette prise se fait
le même jour d'une semaine à l'autre afin d'éviter toute confusion).
. L'ANSM demande aux prescripteurs de préciser sur l'ordonnance le jour de la semaine ou le médica-
ment doit être administré.
Surveillance du bilan hématologique (NFS, plaquettes) avant et après chaque traitement.
Surveillance régulière des bilans rénaux et hépatiques avec adaptation des doses à voir avec l'oncologue : fonction de la clairance à la créatinine et à la bilirubinémie. (Clcr > 60ml/min→100% dose ; 30ml<Clcr < 60ml→50% dose ; Clcr < 30ml →25% dose).
. Le patient doit éviter la consommation d'alcool.
. Le METHOTREXATE® est à utiliser avec précaution en cas d'ulcérations digestives évolutives.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
La prise des semaines suivantes devra être décalée d'une journée.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- dyspnée et/ou toux sèche,
- apparition de selles noires, de saignements de nez et crachats comportant du sang,- démangeaisons, douleurs abdominales, coloration foncée des urines,- signes infectieux.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 MYLERAN® BUSULFAN (HAC PHARMA)
. Comprimés pelliculés blancs dosés à 2 mg (boite de 25) . A conserver à une température inférieure à 25°C. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le busulfan est un agent alkylant, qui empêche la séparation et la réplication de l'ADN.
►Dans le traitement de la leucémie myéloïde chronique en cas de résistance ou de contre-indication aux
►Pour la préparation à la transplantation des cellules souches hématopoïétiques.
Dans la leucémie myéloïde chronique, la posologie varie en fonction de l'indication et du stade d'évolution
de la pathologie. La dose initiale maximale est de 4 mg/jour en traitement d'induction, et peut être admi-
nistrée en une seule prise.

Pour la préparation à la transplantation des cellules souches hématopoïétiques, la posologie est fonction du
poids du patient (1 mg/kg chez l'adulte) à prendre toutes les 6 heures pendant 4 jours.
MYLERAN® se prend avec un grand verre d'eau, en une prise par jour, au cours ou en dehors des repas.
Les comprimés ne doivent pas être broyés, écrasés ou coupés.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- Essoufflement ou toux (risque de pneumonie interstitielle et de fibrose pulmonaire),
- signes infectieux (fièvre, toux, frissons), - signes hémorragiques( selles noires, crachats sanglants, saignements du nez).
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales NATULAN® PROCARBAZINE (SIGMA TAU)
. Gélules de couleur jaune clair dosées à 50 mg (flacon de 50) . A conserver à une température inférieure à 25°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
La procarbazine est un agent alkylant indiqué, principalement en association, dans le traitement des patients atteints de : ►Maladie de hodgkin (protocole MOPP).
►Lymphomes non hodgkiniens.
►Cancers broncho-pulmonaires à petites cellules.
La procarbazine s'utilise chez l'adulte :
. en association à la dose de 100 à 150 mg/m²/jour pendant 5 à 14 jours/mois.
. en monothérapie, la posologie est progressive de 50 mg à J1, puis augmentation de 50mg/jour pour

atteindre 150 à 200 mg/m2/jour.
Le NATULAN® se prend avec un grand verre d'eau, indifféremment au cours ou en dehors des repas.
Les gélules ne doivent pas être ouvertes ni mâchées.
. Eviter les aliments riches en histamine (certains fromages, plats exotiques, abats) en raison du risque de réactions hypertensives graves.
. Eviter l'alcool pendant le traitement.
. Des méthodes de contraception doivent être utilisées pour les femmes et les hommes pendant toute la durée de traitement.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux pour réaliser une NFS en urgence,
- saignements anormaux (épistaxis, selles noires…),
- éruption cutanée bulleuse,
- toux anormale ou difficulté à respirer,- confusion, vertiges, agitation.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 NAVELBINE® VINORELBINE (PIERRE FABRE)
. Capsules molles, sous plaquettes thermoformées, dosées à : - 20 mg (boite de 1) - 30 mg (boite de 1) . A conserver dans le conditionnement primaire soigneusement fermé, au réfrigérateur. . Ne pas dépasser 72h en dehors du réfrigérateur. Prévoir un sac isotherme pour le transport.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
La vinorelbine est un cytotoxique antinéoplasique de la famille des vincaalcaloïdes, qui au niveau moléculaire, bloque la mitose en phase G2-M et provoque la mort cellulaire en interphase ou à la mitose suivante.
La NAVELBINE® orale est utilisée en mono-chimiothérapie et en poly-chimiothérapie dans le traitement du :
►Cancer du poumon non à petites cellules.
►Cancer du sein métastatique.

En monothérapie, le schéma d'administration est le suivant :
Trois premières administrations : Dose de 60 mg/m² de surface corporelle, administrée une fois par semaine en une prise unique.
Au-delà de la troisième administration, il est recommandé d'augmenter la dose de ce médicament à 80 mg/m2 une fois par semaine
en une prise unique, à l'exception des patients dont le nombre de neutrophiles a chuté une fois au-dessous de 500/mm3 ou plus d'une fois entre 500 et 1000/mm3 au cours des trois premières administrations réalisées à la dose de 60 mg/m2.
En polychimiothérapie :
Les résultats des essais cliniques démontrent qu'une dose per os de 80 mg/m2 correspond à une dose IV de 30 mg/m2 et qu'une dose
per os de 60 mg/m2 correspond à une dose IV de 25 mg/m2.
Pour les protocoles d'association, la dose et le schéma thérapeutique seront adaptés sur cette base.
Ceci a été la base des protocoles d'association alternant forme IV et orale améliorant le confort du patient. Pour les protocoles d'association, la dose et le schéma thérapeutique seront adaptés selon le protocole de traitement.
Même pour les patients dont la SC > 2 m2, la dose totale ne doit jamais dépasser 120 mg par semaine (posologie à 60 mg/ m2) ou 160 mg par semaine (posologie à 80 mg/ m2).
Les capsules molles doivent être avalées avec de l'eau, sans mâcher ni sucer la capsule. Il est recommandé de prendre la
capsule à la fin d'un repas léger.
Pour ouvrir le conditionnement sécurisé : découper la plaquette avec des ciseaux en suivant le trait noir ; peler doucement le film blanc qui recouvre la plaquette et appuyer sur le plastique transparent pour expulser la capsule au travers du feuillet d'aluminium.
En cas de contact direct du contenu de la capsule avec la bouche, la peau ou les yeux, bien rincer à l'eau ou de préférence au sérum physiologique et contacter le médecin.
Ne pas utiliser en cas d'un écrasement ou d'une fuite du liquide de la capsule (les capsules endommagées ne doivent pas être avalées).
. En cas de vomissement, ne jamais répéter l'administration de cette dose.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante. La prise des semaines suivantes devra être décalée d'un jour.
. Contacter rapidement le médecin en cas de:
- signes infectieux pour réaliser une NFS en urgence,
- paresthésies pour pratiquer un examen neurologique,- dyspnée.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales NEXAVAR® SORAFENIB (BAYER SANTE)
. Comprimés pelliculés, sous plaquettes thermoformées, ronds de couleur rouge dosés à 200 mg (boite de 112) . A conserver à une température inférieure à 25°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le sorafénib est un inhibiteur de protéines kinases qui diminue la prolifération des cellules tumorales in vitro, ayant des propriétés antiprolifératives et antiangiogéniques. Il est habituellement indiqué dans: ►carcinomes hépatocellulaires (cirrhose hépatique de stade Child-Pugh A uniquement)
►carcinomes rénaux : traitement du carcinome rénal avancé après échec d'un traitement préalable à base
d'interféron alfa ou d'interleukine 2 ou chez des patients pour lesquels ces traitements sont considérés
comme inadaptés.

► Carcinomes thyroïdiens progressifs, localement avancés ou métastatique, différenciés (cancer papillaire/
folliculaire/à cellules de Hürthle), réfractaires à l'iode radioactif.
La dose de NEXAVAR® recommandée chez l'adulte est de 400 mg (2 comprimés de 200 mg) deux fois par
jour (soit une dose totale journalière de 800 mg).
Ce traitement doit être poursuivi tant qu'un bénéfice clinique est observé ou jusqu'à la survenue d'une toxicité inacceptable.
Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients de plus de 65 ans, chez les patients présentant une insuffisance rénale légère, modérée ou sévère ni chez les patients présentant une insuffisance hépatique
légère à modérée.
le sorafénib doit être pris en dehors des repas ou avec un repas pauvre ou modérément riche en graisses.
Si le patient a l'intention de prendre un repas riche en graisses, les comprimés de sorafénib doivent être
pris au moins 1 heure avant ou 2 heures après le repas.

Les comprimés doivent être avalés avec un verre d'eau et ne doivent pas être broyés, écrasés ou coupés
. Ne pas boire ni manger de pamplemousse pendant le traitement.
. Eviter les médicaments utilisés pour traiter les brûlures d'estomac (antiacides, IPP et antiH2).
. Utiliser une méthode de contraception efficace.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux pour réaliser une NFS en urgence,
- signes hémorragiques, - gonflement, rougeur et douleur de la paume des mains et de la plante des pieds, - essoufflement, œdème des membres et douleur thoracique.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 PURINETHOL® MERCAPTOPURINE (HAC PHARMA)
. Comprimés sécables de couleur jaune pâle dosés à 50 mg (flacon de 25) . A conserver à l'abri de la lumière et de l'humidité, à une température inférieure à 25°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
La mercaptopurine est une prodrogue inactive, analogue des purines, agissant comme un faux nucléotide, inhibant la biosynthèse des nucléotides normaux et leur incorporation à l'ADN (antimétabolite).
Le PURINETHOL® est indiqué dans le traitement: ►Des leucémies aiguës lymphoblastiques,
►Des leucémies aiguës myéloblastiques,
►Des leucémies myéloïdes chroniques.
. Traitement d'entretien des leucémies aiguës :
La dose habituellement préconisée est en moyenne de 1 à 2.5 mg/kg/jour.
Elle peut atteindre dans certains cas 5 mg/kg/jour.
La dose sera modifiée en fonction des hémogrammes répétés, en cas d'insuffisance hépatique et rénale, et en fonction des autres traitements cytostatiques associés.
. Traitement des leucémies myéloïdes chroniques :
La dose peut être comprise entre 1.5 et 2.5 mg/kg/jour.
Elle peut être modulée en fonction de la réponse du patient et des traitements associés.
Les comprimés sont à prendre avec un grand verre d'eau, 15 à 30 minutes avant les repas. Les compri-
més ne doivent pas être broyés, écrasés ou coupés.
. Ne pas consommer de boissons alcooliques pendant la prise de PURINETHOL®.
. Utiliser une méthode de contraception efficace.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
. Pendant le traitement, il est conseillé de boire d'avantage d'eau pour le bon fonctionnement des reins.
. Contactez rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux pour réaliser une NFS en urgence,
- signes d'hémorragie,
- douleurs abdominales, ictère, urines foncées, prurit : suspicion d'une atteinte hépatique.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales SPRYCEL® DASATINIB (BMS)
. Comprimés sous plaquettes thermoformées, - ronds blancs dosés à 20 mg (boite de 60) - ovales blancs dosés à 50 mg (boite de 60) - ronds blancs dosés à 70 mg (boite de 60) - ovales blancs dosés à 100 mg (boite de 30) - ronds blancs dosés à 140 mg (boite de 30) . A conserver à une température inférieure à 25°C, à l'abri de la lumière et de l'humidité.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le dasatinib est un inhibiteur de protéines kinases qui diminue la prolifération des cellules Bcr-Abl+ et de la voie SRC in vitro. Ce médicament est indiqué chez des patients adultes atteints de : ► leucémie myéloïde chronique (LMC) à Chromosome Philadelphie (Ph+) en phase chronique nouvellement
► leucémie myéloïde chronique (LMC) en phase chronique, accélérée ou blastique, en cas de résistance ou
d'intolérance à un traitement antérieur incluant l'imatinib mésilate (GLIVEC®),
► leucémie myéloïde chronique (LMC) en phase blastique lymphoïde Ph+, en cas de résistance ou intolé-
rance à un traitement antérieur,
► leucémie aiguë lymphoblastique (LAL) Ph+ en cas de résistance ou intolérance à un traitement antérieur.
. La posologie initiale recommandée de dasatinib pour la phase chronique de LMC est de 100 mg une fois par jour, administrée oralement. Une augmentation de dose à 140 mg est autorisée en cas de non réponse.
. La posologie initiale recommandée de dasatinib pour la phase accélérée de LMC, la phase blastique myéloïde ou blastique lymphoïde (phase avancée) de LMC ou la LAL Ph+ est de 140 mg une fois par jour. Une aug-mentation de dose à à 100 mg deux fois par jour (phase avancée de LMC) est autorisée en cas de non réponse.
. Utiliser une méthode de contraception efficace. Les pilules contraceptives ne sont pas recommandées comme seule méthode de contraception.
. Eviter les médicaments utilisés pour traiter les brûlures d'estomac (antiacides, IPP et antiH2).
. En raison de son métabolisme (substrat des CYP 3A4), éviter de manger des pamplemousses ou de boire du jus de pamplemousse pendant le traitement par dasatinib.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
. Contacter rapidement le médecin en cas de:
- signes infectieux (fièvre, toux, frissons) ou hémorragiques (épistaxis, selles noires, crachats sanglants) pour
réaliser une NFS en urgence, - dyspnée ou toux pour contrôle radiographique, - signes d'hypertension artérielle pulmonaire (insuffisance cardiaque, douleurs thoraciques, crachats de sang, … ).
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 STIVARGA® REGORAFENIB (BAYER SANTE)
. Comprimés pelliculés dosés à 40 mg, de couleur rose clair, de forme ovale, avec « BAYER » gravé sur une face et « 40 » sur l'autre face, boite de 3 flacons de 28 . Conserver le flacon soigneusement fermé à l'abri de l'humidité. Une fois ouvert, le médicament reste stable pendant 7 semaines. Passé ce délai, le médicament doit être éliminé . Disponible uniquement dans les pharmacies hospitalières, ATU de cohorte devenue AMM le 26 août 2013.
Le régorafénib est un agent oral de désactivation tumorale qui inhibe de façon importante de multiples protéines kinases, y compris celles impliquées dans l'angiogenèse tumorale (VEGFR1, 2, 3, TIE2), l'oncogenèse (KIT, RET, RAF-1, BRAF, BRAFV600E) et le microenvi- ronnement tumoral (PDGFR, FGFR).
Dans les études précliniques, le régorafénib a fait preuve d'une activité anti-tumorale importante sur un large spectre de modèles tumoraux, notamment des modèles de tumeur colorectale, activité due à ses effets à la fois anti-angiogéniques et antiprolifératifs. En outre, le régora- fénib a présenté des effets anti-métastatiques in vivo.
STIVARGA® est indiqué dans le traitement des patients adultes atteints d'un cancer colorectal (CCR) métastatique qui ont été
traités antérieurement ou qui ne sont pas éligibles aux traitements disponibles, notamment une chimiothérapie à base de fluoropyri-
midine, un traitement par anti-VEGF et un traitement par anti-EGFR.
La dose recommandée de régorafénib est de 160 mg (4 comprimés de 40 mg) une fois par jour pendant 3 semaines, suivies d'une
semaine de pause.
Cette période de 4 semaines correspond à un cycle de traitement.
Ajustements posologiques :Des interruptions du traitement et/ou des diminutions de la posologie peuvent s'avérer nécessaires en fonction de la sécurité et de la tolérance individuelle. Les modifications de la posologie doivent être effectuées par paliers de 40 mg (un comprimé). La dose quoti- dienne minimale recommandée est de 80 mg. La dose quotidienne maximale est de 160 mg. STIVARGA®doit être pris à heure fixe chaque jour. Les comprimés doivent être avalés entiers avec de l'eau après un repas
léger contenant moins de 30 % de lipides. Un repas léger (à faible teneur lipidique) pourra être composé par exemple d'une
portion de céréales (environ 30 g), d'un verre de lait écrémé, d'une tranche de pain avec de la confiture, d'un verre de jus de
pomme et d'une tasse de café ou de thé (520 calories, 2 g de lipides).
. Utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement et pendant au moins huit semaines après l'arrêt du traitement.
. Si une dose est oubliée, elle doit être prise le jour-même dès que le patient s'aperçoit de l'oubli.
Le patient ne doit pas prendre deux doses le même jour pour compenser une dose oubliée. En cas de vomissements après l'adminis-
tration du régorafénib, le patient ne doit pas prendre de comprimés supplémentaires.
. STIVARGA® n'ayant pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh C), son utilisation
n'est pas recommandée dans cette population. . Les données in vitro indiquent que le régorafénib est métabolisé par le cytochrome CYP3A4 et par l'uridine diphosphate glucuro- nosyl-transférase UGT1A9. Il est recommandé d'éviter l'utilisation concomitante de puissants inhibiteurs de l'activité du CYP3A4 (par ex, clarithromycine, jus de pamplemousse, itraconazole, kétoconazole, posaconazole, télithromycine et voriconazole) et de puissants inhibiteurs de l'UGT1A9 (par ex, acide méfénamique, diflunisal et acide niflumique)
. Contacter rapidement le médecin en cas de:
- Troubles hépatiques (coloration jaune de la peau, urines foncées, confusion / désorientation) pouvant être le signe d'une lésion au foie,
- signes hémorragiques (épistaxis, selles noires, crachats sanglants),
- problèmes d'estomac et d'intestins sévères (perforation ou fistule gastro-intestinales) avec douleurs intenses ou persistantes à
l'estomac (abdominales), vomissements avec présence de sang ou coloration rouge ou noire des selles.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales SUTENT® SUNITINIB (PFIZER)
. Gélules dosées à : - 12.5 mg (flacon de 28) - 25 mg (flacon de 28) - 50 mg (flacon de 28) . A conserver à une température inférieure à 25°C, à l'abri de la lumière et de l'humidité.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le sunitinib est un agent antinéoplasique, inhibiteur de protéines tyrosines kinases impliqué dans la croissance tumorale, l'angiogenèse et la progression métastatique du cancer.
Il est indiqué dans le traitement : ►Du cancer du rein métastatique (MRCC) : traitement des cancers du rein avancés et/ou métastatiques.
►Des Tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST) : malignes non résécables et/ou métastatiques, après
échec d'un traitement par le mésylate d'imatinib dû à une résistance ou à une intolérance.
►Des Tumeurs neuroendocrines pancréatiques bien différenciées chez l'adulte, en progression, non résé-
cables ou métastatiques en 1ère et 2ème ligne.
Le sunitinib se prend une fois par jour en continu ou par cycles, selon l'indication.
MRCC et GIST : Un cycle dure systématiquement 6 semaines et s'organise de la façon suivante : une prise
de 50 mg quotidienne pendant 4 semaines consécutives, suivie de 2 semaines de repos.
Tumeur neuroendocrine pancréatique : Une prise de 37.5 mg par jour en continu.

Dans tous les cas, la posologie peut être réduite par palier de 12.5 mg jusqu'à 25 mg minimum par jour.
Le SUTENT® peut être pris au cours ou en dehors d'un repas avec un grand verre d'eau.
Les gélules ne doivent jamais être ouvertes ni broyées.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante. Prendre la dose habituellement prescrite le jour suivant et noter cet oubli dans le carnet de suivi.
. Il est recommandé d'éviter l'utilisation concomitante de puissants inhibiteurs de l'activité du CYP3A4 (par ex, clarithromycine, jus de pamplemousse, itraconazole, kétoconazole, posaconazole, télithromycine et vori- . Contacter rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux (fièvre, toux, frissons) ou hémorragiques (épistaxis, selles noires, crachats sanglants) pour
réaliser une NFS en urgence, - maux de tête inhabituels, sensations de vertiges et de bourdonnements d'oreilles…, - essoufflement, œdème des membres et douleur thoracique,- syndrome main pied.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 TAFINLAR® DABRAFENIB (GSK)
. Capsules dosées à 50mg et 75 mg (boite de 120) . A conserver à une température inférieure à 25°C.
. Disponible uniquement dans les pharmacies de ville. Ancienne ATU. Prix, agrément collectivités et rembour- sement aux assurés sociaux (JO du 22 juillet 2014) Tafinlar® est un nouvel anti BRAF 600.
Il est indiqué en monothérapie par voie orale pour le mélanome non résécable ou mélanome métastatique
chez les patients adultes atteints de la mutation BRAF V600E.
La posologie est de 150 mg 2 fois par jour. Les deux prises doivent être espacées de 12h.
A prendre 1h avant le repas ou 2h après un repas.

La posologie peut être réduite en cas d'effets secondaires: 100 mg / 75 mg / 50 mgLes capsules ne doivent pas être ouvertes, ni écrasées . . Une contraception efficace chez la femme et chez l'homme devra être mise en place et maintenue 4 semaines après l'arrêt du traitement.
. Les contraceptifs peuvent être moins efficaces associés au Tafinlar®. Il faudra utiliser des préservatifs . Précaution d'emploi en cas de favisme ou déficit en G6PD.
. Le dabrafenib peut diminuer la fertilité chez l'homme.
. En cas d'oubli d'une prise, la dose oubliée peut être prise jusqu'à 6h avant la dose suivante.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- signes d'hyperglycémie (soif, miction fréquente),
- fièvre, frisson, - douleur oculaire, rougeur, vision floue, gonflement.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales TARCEVA® ERLOTINIB (ROCHE)
. Comprimés ronds dosés à : - 25 mg (boite de 30)- 100 mg (boite de 30)- 150 mg (boite de 30) . A conserver ce médicament à une température inférieure à 25°C, à l'abri de la lumière et de l'humidité.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
L'erlotinib est un agent antinéoplasique inhibiteur des récepteurs de l'EGFR.
►Cancer bronchique non à petite cellule (CBNPC) :
. Ce médicament est indiqué en monothérapie dans le traitement de maintenance des formes localement avancées ou métastatiques du cancer bronchique non à petites cellules, . Il est indiqué dans le traitement des formes localement avancées ou métastatiques du CBNPC après échec d'au moins une ligne de chimiothérapie, . Il est indiqué en première ligne de traitement des formes localement avancées ou métastatiques du cancer bron- chique non à petites cellules (CBNPC) chez les patients présentant des mutations activatrices de l'EGFR.
►Cancer du pancréas métastatique :
. Ce médicament, en association à la gemcitabine, est indiqué dans le traitement du cancer du pancréas métastatique.
Cancer bronchique non à petites cellules : La posologie quotidienne recommandée est de 150 mg.
Cancer du pancréas : La posologie quotidienne recommandée est de 100 mg, en association à la gemcitabine.
Si une adaptation de la posologie est nécessaire, réduire par palier de 50 mg.
Utiliser avec précautions en cas d'insuffisance hépatique ou d'insuffisance rénale. Ce médicament est à prendre au moins 1H avant ou 2H après un repas.
Ne pas écraser ou mastiquer les comprimés. Si les comprimés ne peuvent pas être avalés, placer les com-
primés dans un peu d'eau tiède.
Mélanger jusqu'à ce que le comprimé se soit brisé en très petites particules
(environ 5 minutes). Boire sans attendre. Ajoutez un peu d'eau, remuez et buvez de façon à récupérer le maxi-mum de médicament resté au fond du verre.
. Une contraception efficace pendant le traitement et au moins 2 semaines après l'arrêt doit être mise en place.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante. En raison de son métabolisme (substrat et inhibiteur des CYP 3A4 et 2C8), éviter de manger des pample- mousses ou de boire du jus de pamplemousse pendant le traitement.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- troubles respiratoires (rechercher des signes de pneumopathie interstitielle),
- éruption cutanée bulleuse.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 TASIGNA® NILOTINIB (NOVARTIS)
. Gélules dosées à 150 mg de couleur rouge (boite de 28 ou de 56). Gélules dosées à 200 mg de couleur jaune clair (boite de 28 ou de 56). A conserver à une température inférieure à 30°C et à l'abri de l'humidité.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le nilotinib est un inhibiteur de la protéine c-KIT et bloque l'activité tyrosine kinase de la protéine Bcr-Abl.
Il est indiqué chez l'adulte dans: ►Le traitement de la leucémie myéloïde chronique (LMC) chromosome Philadelphie positive en phase
►Le traitement de la LMC chromosome Philadelphie positive (Ph+) en phase chronique et en phase accélé-
rée, résistant ou intolérant à un traitement antérieur incluant l'imatinib.
Pour le traitement de la LMC en phase chronique nouvellement diagnostiquée, la posologie recommandée
est de 300 mg deux fois par jour.
Pour le traitement de la LMC en phase chronique et en phase accélérée, la posologie recommandée dans le
Vidal est de 400 mg 2 fois par jour mais les études ont prouvé que 600 mg par jour est aussi efficace et moins
toxique (pratique courante).
Les gélules de TASIGNA® ne doivent pas être administrées avec de la nourriture (augmentation de la
concentration plasmatique). Les deux administrations doivent être prises à 12 heures d'intervalle environ en
dehors des repas.

Aucun aliment ne doit être consommé dans les deux heures précédant une prise de TASIGNA®, ni dans
l'heure qui suit.
Les gélules ne doivent pas être mâchées.
. Il est recommandé d'utiliser une méthode de contraception efficace.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante. En raison de son métabolisme (substrat et inhibiteur des CYP 3A4 et 2C8), éviter de manger des pample- mousses ou de boire du jus de pamplemousse pendant le traitement.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux (fièvre, toux…),
- saignement anormal, selles noires,
- prise de poids rapide et inattendue,
- douleur dans la poitrine, signes d'artérite, douleurs des extrémités, maux de tête.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales TEMODAL® TEMOZOLOMIDE (MSD)
. Gélules dosées à 5 mg de couleur verte et blanche (boite de 5 sachets) . Gélules dosées à 20 mg de couleur jaune et blanche (boite de 5 sachets). Gélules dosées à 100 mg de couleur rose et blanche (boite de 5 sachets). Gélules dosées à 140 mg de couleur bleue et blanche (boite de 5 sachets) . Gélules dosées à 180 mg de couleur rouge et blanche (boite de 5 sachets). Gélules dosées à 250 mg de couleur blanche (boite de 5 sachets). A conserver à une température inférieure à 25°C.
. Disponible uniquement dans les pharmacies hospitalières.
. Présence de génériques.
Le témozolomide est un agent alkylant indiqué dans le traitement : ►Des glioblastomes multiformes nouvellement diagnostiqués en association avec la radiothérapie puis en
traitement en monothérapie (chez l'adulte).
►Des gliomes malins, tel que le glioblastome multiforme ou astrocytome anaplasique, présentant une réci-
dive ou une progression après un traitement standard (chez l'adulte et l'enfant de 3 ans et plus).
. Des méthodes contraceptives efficaces doivent être utilisées pour les femmes et les hommes pendant tout le traitement et jusqu'à 6 mois après l'arrêt du traitement. . En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
. En cas de vomissement, ne pas reprendre de gélules le même jour.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux pour réaliser une NFS en urgence,
- saignements anormaux (épistaxis, selles noires…),
- éruption cutanée bulleuse,
- toux anormale ou difficulté à respirer.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 Suite de la page 30
►Posologie chez les patients adultes avec un glioblastome multiforme nouvellement diagnostiqué :
Ce médicament est administré en association avec la radiothérapie focale (phase concomitante) suivi de témo-
zolomide (TMZ) en monothérapie jusqu'à 6 cycles (phase de monothérapie).
- Phase concomitante : TMZ est administré par voie orale à une dose de 75 mg/m2 quotidiennement pendant 42 jours à 49 jours (selon la toxicité hématologique et non hématologique) en association à la radiothérapie focale .
- Phase de monothérapie :Quatre semaines après avoir terminé la phase concomitante de traitement par TMZ + RT, TMZ est administré jusqu'à 6 cycles de traitement en monothérapie. La dose pendant le cycle 1 (monothérapie) est de 150 mg/m2 une fois par jour pendant 5 jours suivis de 23 jours sans traitement. Au début du cycle 2, la dose est augmentée à 200 mg/m2 si la toxicité le permet. Si la dose n'est pas augmentée au cycle 2, l'augmentation ne doit pas être effectuée aux cycles suivants. Une fois augmentée, la dose demeure à 200 mg/m2 par jour pour les 5 premiers jours de chaque cycle suivant à moins qu'une toxicité apparaisse.
►Posologie dans les autres indications :
Un cycle de traitement comprend 28 jours. Chez les patients n'ayant pas reçu de chimiothérapie au préalable, TMZ est administré par voie orale à la dose de 200 mg/m2 une fois par jour pendant les 5 premiers jours du cycle puis le traitement devra être arrêté pendant les 23 jours suivants (total de 28 jours). Chez les patients ayant reçu une chimiothérapie préalable, la dose initiale est de 150 mg/m2 une fois par jour, puis est augmentée lors du second cycle à 200 mg/m2 une fois par jour, pendant 5 jours s'il n'y a pas de toxicité hématologique.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales TYVERB® LAPATINIB (ROCHE)
. Comprimés pelliculés jaunes, sous plaquettes thermoformées, dosés à 250 mg (boite de 70, de 84 et de 140) . A conserver à une température inférieure à 25°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le lapatinib est, inhibiteur de protéine kinase anti HER 2.
TYVERB® est indiqué, dans le traitement du cancer du sein avec surexpression des récepteurs HER2
►En association à la capécitabine, chez les patients ayant une maladie avancée ou métastatique en progression après un traitement

antérieur ayant comporté une anthracycline, un taxane et un traitement ayant inclus du trastuzumab en situation métastatique.
►En association à un inhibiteur de l'aromatase, chez les patientes ménopausées ayant une maladie métastatique avec des récepteurs
hormonaux positifs et pour lesquelles la chimiothérapie n'est actuellement pas envisagée.
► En association au trastuzumab chez les patients ayant une maladie métastatique avec des récepteurs hormonaux -négatifs, en
progression après un (des) traitement(s) antérieur(s) par trastuzumab en association à une chimiothérapie.
► En association au trastuzumab chez les patients ayant une maladie métastatique avec des récepteurs hormonaux négatifs, en
progression après un (des) traitement(s) antérieur(s) par trastuzumab en association à une chimiothérapie.
►Posologie du lapatinib en association avec la capécitabine.
La posologie recommandée de lapatinib est de 1250 mg (soit 5 comprimés) en une prise par jour, en continu.
La dose recommandée de capécitabine est de 2000 mg/m2/jour, en 2 prises à 12 heures d'intervalle, du jour J1 à J14 d'un cycle de 21 jours. La capécitabine doit être prise au cours d'un repas, ou dans les 30 minutes suivant la prise alimentaire. ►Posologie du lapatinib en association avec un inhibiteur de l'aromatase.
La posologie recommandée de lapatinib est de 1500 mg (soit six comprimés) en une prise par jour, en traitement continu.
LE TYVERB® se prend quotidiennement en une prise par jour au moins une heure avant, ou une heure après un repas. Une
fois le traitement instauré, la prise devra se faire toujours au même moment de la journée et toujours au même moment par
rapport au repas.

Les comprimés ne doivent pas être broyés, écrasés ou coupés.
. Ne pas jeter les emballages entamés ni les comprimés dans votre poubelle.
. En raison de son métabolisme (substrat et inhibiteur des CYP 3A4 et 2C8), éviter de manger des pamplemousses ou de boire du jus de pamplemousse pendant le traitement.
. Eviter les antiacides et antisécrétoires (IPP et antiH2) qui diminuent la solubilité et l'absorption du TYVERB®.
. Des méthodes contraceptives efficaces doivent être utilisées pendant tout le traitement . En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante. Prendre la dose habi- tuellement prescrite le jour suivant et noter cet oubli dans le carnet de suivi.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- essoufflement, toux anormale,
- signes d'atteintes hépatiques,- syndrome main pied.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 VERCYTE® PIPOBROMAN (ABBOTT PRODUCTS)
. Comprimés blancs, sous plaquettes thermoformées, dosés à 25 mg (boite de 30). A conserver à une température inférieure à 25°C, à l'abri de la lumière et de l'humidité. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le pipobroman est un agent alkylant indiqué dans le traitement de la Polycythémie vraie (maladie de Va-
quez). C'est un syndrome myéloprolifératif qui entraine une polyglobulie dont le risque majeur à court terme est la
thrombose. A long terme, risque de transformation en leucémie aigue ou myélofibrose.
. Traitement d'attaque :
1 mg/kg/jour, soit 2 à 3 comprimés en prises fractionnées.

(Si au bout d'un mois de traitement d'attaque à 1 mg/kg/jour on n'obtient pas une réponse hématologique satis- faisante, on peut passer à des doses de 1.5 à 3 mg/kg/jour, sous couvert d'une surveillance hématologique stricte.)
. Traitement d'entretien :
Celui-ci est habituellement entrepris lorsque l'hématocrite a été ramené à 50-55 %. La dose quotidienne sera
alors de 0.1 à 0.2 mg/kg/jour.
VERCYTE® doit être pris avec un grand verre d'eau indifféremment pendant ou en dehors des repas.
Les comprimés ne doivent pas être broyés, écrasés ou coupés
. Ne pas jeter les emballages entamés ni les comprimés dans votre poubelle.
. Utiliser un moyen de contraception efficace.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
. Contactez rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux pour réaliser une NFS,
- apparition de selles noires, de saignements de nez et crachats comportant du sang.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales VESANOID® TRETINOINE (ROCHE)
. Capsules molles jaunes /orangées et brun / rouge dosées à 10 mg (boite de 100) . A conserver à une température inférieure à 25°C, à l'abri de la lumière et de l'humidité.
. Disponible uniquement dans les pharmacies hospitalières.
L'acide tout-trans rétinoïque est un métabolite naturel du rétinol et appartient à la classe des rétinoïdes, composés qui présentent une structure apparentée à celle de la vitamine A et comprennent des analogues naturels aussi bien que synthétiques. Des études in vitro sur l'acide tout-trans rétinoïque ont révélé la capacité de cet acide d'induire la différenciation des lignées de cellules hématopoïétiques transformées, y compris les cellules humaines atteintes de leucémie myéloïde et d'en inhiber la prolifération.
Le VESANOID® peut être utilisé pour induire une rémission chez les patients atteints de leucémie aiguë pro-
myélocytaire
(LAP; classification FAB : LAM 3). Les patients non traités antérieurement ainsi que les patients qui
ont fait une rechute après une chimiothérapie classique ou qui se sont révélés réfractaires à celle-ci (daunomycine et cytarabine ou traitements équivalents) peuvent être traités par l'acide tout-trans rétinoïque. Une fois la rémission complète obtenue, il faut administrer une chimiothérapie de consolidation à pleine dose. 45mg/m²/jour réparti en deux prises égales soit, en moyenne, 8 capsules par jour.
Le traitement doit être poursuivi jusqu'à rémission complète ou pendant 90 j maximum.
Les capsules doivent être avalées en entier avec de l'eau et ne doivent pas être mâchées.
Il est recommandé de les prendre au cours d'un repas ou peu de temps après.
. Utilisation d'un méthode contraceptive efficace pendant tout le traitement et un mois après l'arrêt.
. Les tests de grossesses seront répétés mensuellement.
. Attention au patients allergiques aux cacahuètes et au soja (les capsules contiennent de l'huile de soja) 1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 XALKORI® CRIZOTINIB (PFIZER)
. Gélules blancs opaques dosées à 200 mg (boite de 60) . Gélules roses opaques dosées à 250 mg (boite de 60). A conserver à une température inférieure à 25°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le crizotinib est un agent antinéoplasique et le premier inhibiteur de tyrosine kinase ciblant la mutation ALK (Ana- plastic Lymphoma Kinase) dans le cancer du poumon.
XALKORI® est indiqué dans le traitement des patients adultes ayant reçu au moins un traitement antérieur pour
un cancer du poumon non à petites cellules (CBNPC) localement avancé ou métastatique exprimant le gène
La posologie initiale est de 250 mg deux fois/jour en continu.
Une interruption de l'administration et/ou une diminution de dose peuvent être justifiées en fonction de la tolérance individuelle : soit 200 mg par voie orale, deux fois par jour soit 250 mg en prise unique par jour. XALKORI® se prend quotidiennement en deux prises par jour au moins une heure avant, ou une heure
après un repas. Une fois le traitement instauré, la prise devra se faire toujours au même moment de la
journée
et toujours au même moment par rapport au repas.
Les gélules ne doivent être ni écrasées, ni dissoutes et ni ouvertes.
. Utiliser une méthode de contraception efficace.
. En cas d'oubli d'une prise de moins de 6 heures, prendre la dose. En cas d'oubli d'une prise de plus de 6
heures, ne pas prendre la dose. Prendre la dose habituellement prescrite au moment suivant.
. Ne pas consommer de pamplemousse ou de jus de pamplemousse au cours du traitement.
. Eviter les anti-acides et les anti-sécrétoires
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- signes d'infection, essoufflement, toux anormale,
- signes d'atteintes cardiaques ou hépatiques.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales XELODA® CAPECITABINE (ROCHE)
. Comprimés pelliculés marrons dosés à 500 mg (boite de 120). Comprimés pelliculés beiges dosés à 150 mg (boite de 60) . Conserver ce médicament à une température inférieure à 25°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
. Présence de génériques.
► Ce médicament est indiqué dans le traitement du cancer colorectal métastatique.
► Ce médicament est indiqué en traitement adjuvant du cancer du colon de stade III (stade C de Dukes) après

► Ce médicament est indiqué en première ligne, dans le traitement du cancer gastrique avancé, en association
à une chimiothérapie à base de sel de platine.
► Ce médicament en association avec le docétaxel est indiqué dans le traitement du cancer du sein localement
avancé ou métastatique, après échec à une chimiothérapie cytotoxique. La chimiothérapie antérieure doit
avoir comporté une anthracycline.

► Ce médicament est également indiqué en monothérapie dans le traitement du cancer du sein localement
avancé ou métastatique, après échec aux taxanes et à une chimiothérapie contenant une anthracycline ou
lorsqu'une chimiothérapie par anthracycline n'est pas indiquée.

1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 Suite de la page 36
Monothérapie
- Cancer du côlon, cancer colorectal et cancer du sein
En monothérapie, la posologie initiale recommandée de ce médicament dans le traitement du cancer du côlon en situation adjuvante, du cancer colorectal métastatique ou du cancer du sein localement avancé ou métastatique est de 1250 mg/m2 deux fois par jour (matin et soir ; soit une dose quotidienne totale de 2500 mg/m2) pendant 14 jours, suivie d'une période sans traitement de 7 jours. En traitement adjuvant du cancer du côlon de stade III, il est recommandé de traiter pour une durée totale de 6 mois. La toxicité due à l'administration de ce médicament peut être contrôlée par un traitement symptomatique et/ou par une modification de la posologie (interruption du traitement ou réduction de la dose). Une fois la dose réduite, celle-ci ne devra pas être augmentée ultérieurement.
Association de traitement
- Cancer du côlon, cancer colorectal et cancer gastrique
En association de traitement, la dose initiale recommandée de ce médicament doit être réduite à 800-1000 mg/m2
deux fois par jour pendant 14 jours suivie d'une période sans traitement de 7 jours, ou à 625 mg/m2 deux fois
par jour en administration continue. L'ajout d'un médicament biologique n'a pas d'effet sur la dose initiale de ce médicament. Pour les patients qui reçoivent l'association capécitabine plus cisplatine, une prémédication desti- née à maintenir une bonne hydratation ainsi qu'un antiémétique doivent être débutés avant l'administration du cisplatine (conformément au RCP du cisplatine). Pour les patients qui reçoivent l'association capécitabine plus oxaliplatine, une prémédication par un antiémétique est recommandée conformément au RCP de l'oxaliplatine. En traitement adjuvant du cancer du côlon de stade III, il est recommandé de traiter pour une durée de 6 mois.
- Cancer du seinEn association avec le docétaxel, la dose initiale recommandée de ce médicament est de 1250 mg/m2 deux fois par jour pendant 14 jours, suivie d'une période sans traitement de 7 jours, associée à 75 mg/m2 de docétaxel, en perfusion d'une heure, toutes les 3 semaines.
Pour les patients qui reçoivent l'association capécitabine plus docétaxel, une prémédication avec un corticos- téroïde oral, tel que la dexaméthasone, doit être débutée avant l'administration de docétaxel (conformément au RCP du docétaxel).
La posologie n'est pas modifiée en cas IR légère, elle est adaptée en cas d'IR modérée et CI en cas d'IR sévère. Une surveillance attentive des patients âgés de 60 ans ou plus est recommandée.
. Utiliser une méthode de contraception efficace.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante. En cas de vomissements, ne pas reprendre de dose supplémentaire ni doubler la dose.
. Contacter rapidement le médecin en cas de : - fièvre, signes infectieux pour réaliser une NFS en urgence, - syndrome mains-pieds (gonflement, rougeur et douleur de la paume des mains et de la plante des pieds), - douleur thoracique, en particulier si elle survient pendant un exercice.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales . Capsules molles, de forme oblongue, de couleur blanche à blanc cassé, avec la mention « ENZ » imprimée à l'encre noire sur une face, dosées à 40 mg (boite de 112).
. Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières de conservation.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
L'enzalutamide est un inhibiteur puissant de la voie de signalisation des récepteurs aux androgènes, qui en bloque
plusieurs étapes. XTANDI® est indiqué dans le traitement du cancer métastatique de la prostate résistant à
la castration chez les hommes adultes dont la maladie a progressé pendant ou après une chimiothérapie à
base de docétaxel.

La dose recommandée est de 160 mg d'enzalutamide (quatre capsules de 40 mg) en une seule prise quoti-
dienne par voie orale.
En cas de toxicité de grade supérieur ou égal à 3 ou d'effet indésirable intolérable, il convient de suspendre le
traitement pendant une semaine ou jusqu'à ce que les symptômes reviennent à un grade inférieur ou égal à 2, puis
de reprendre le traitement à la même dose ou à une dose réduite si nécessaire (120 mg ou 80 mg).
Les capsules doivent être avalées entières avec de l'eau, et peuvent être prises avec ou sans nourriture.
. Si le patient oublie de prendre la dose prescrite de XTANDI® à l'heure habituelle, elle doit être admi-
nistrée aussi près que possible de l'heure habituelle de prise.
Si le patient oublie de prendre la dose prescrite de XTANDI® pendant toute une journée, il convient de reprendre le traitement le lendemain à la dose quotidienne habituelle. . Le CYP2C8 joue un rôle important dans l'élimination de l'enzalutamide et dans la formation de son métabo- lite actif. L'utilisation concomitante avec des inhibiteurs puissants du CYP2C8 doit être évitée autant
que possible (rifampicine, Gemfibrozil …)
Si le patient doit recevoir un inhibiteur puissant du CYP2C8 de façon concomitante, la dose d'enzalutamide doit être réduite à 80 mg en une prise quotidienne.
. L'administration concomitante de warfarine ou d'anticoagulants coumariniques doit être évitée. Si
XTANDI® est administré en même temps qu'un anticoagulant métabolisé par le CYP2C9 (tel que la warfa-rine ou l'acénocoumarol), une surveillance additionnelle du rapport normalisé international (INR) doit être conduite . Les patients présentant une intolérance héréditaire rare au fructose ne doivent pas prendre ce médicament.
. La présence de l'enzalutamide ou de ses métabolites dans le sperme n'est pas connue. L'utilisation d'un
préservatif est nécessaire pendant le traitement et durant les trois mois suivant la fin du traitement
par enzalutamide.

1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 ZAVEDOS® IDARUBICINE (PFIZER)
. Gélules oranges dosées à 5 mg (boite de 1). Gélules blanches et oranges dosées à 10 mg (boite de 1). Gélules blanches dosées à 25 mg (boite de 1) . A conserver à une température inférieure à 25°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
L'idarubicine est un agent antinéoplasique de la famille des anthracyclines, qui présente un effet inhibiteur sur la syn- thèse des acides nucléiques en provoquant des coupures de l'ADN.
ZAVEDOS® est indiqué dans le traitement des leucémies aiguës myéloblastiques, non hyperleucocytaires, chez
le sujet âgé de plus de 60 ans, en cas d'hospitalisation prolongée et/ou chimiothérapie par voie intraveineuse
contre-indiquées, ou de risques liés à une aplasie prolongée.

Deux schémas posologiques sont proposés :
. Schéma hebdomadaire :
Traitements d'induction et de consolidation : la dose recommandée est de 20 mg/m2 par semaine, pendant
4 semaines.
En cas d'échec chez les patients non répondeurs, la dose pourra être augmentée à 40 mg/m2 par
semaine, pendant 4 semaines.
. Schéma quotidien :
La dose recommandée est de 30 mg/m2/jour, pendant 3 jours consécutifs, en monothérapie ou entre 15 et
30 mg/m2/jour, pendant 3 jours consécutifs, en association avec d'autres anticancéreux.
Les gélules d'idarubicine s'administrent en une prise, au cours d'un repas léger avec de l'eau.

Afin d'éviter tout contact avec la peau, la prise des gélules s'effectue directement à partir du flacon.
Les gélules ne doivent pas être ouvertes, sucées, mâchées, ni même mordues.
. Utiliser une méthode de contraception efficace.
. En cas d'oubli d'une prise, ne pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
- pour le schéma hebdomadaire : prendre la prise le jour suivant et respecter un intervalle de 7 jours avec la prise suivante.
- pour le schéma quotidien : prendre la prise le jour suivant et respecter un espacement de 24 heures entre les . En cas de contact avec la peau, laver à l'eau et au savon puis rincer avec une solution de bicarbonate de sodium.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- signes infectieux pour réaliser une NFS en urgence,
- signes d'hémorragie,
- signes d'atteintes hépatiques,- syndrome main pied.
1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales ZELBORAF® VEMURAFENIB (ROCHE)
. Comprimés pelliculés, sous plaquettes thermoformées, dosés à 240 mg (boite de 56) . A conserver à une température inférieure à 25°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
Le vemurafenib est une thérapie ciblée qui inhibe puissamment la forme activée des protéines kinases BRAF mu-
tées, responsables de la prolifération cellulaire des cellules cancéreuses concernées.
Ce médicament est indiqué en monothérapie dans le traitement des patients adultes atteint d'un mélanome non
résécable ou métastatique, porteurs de la mutation BRAF V600E.
La posologie recommandée est de 960 mg 2x/j soit 4 comprimés de 240 mg matin et soir.
Chaque dose doit être prise de la même manière matin et soir (à 12 heures d'intervalle environ), toujours
au cours d'un repas,
Le traitement doit être poursuivi jusqu'à progression de la maladie ou survenue d'une toxicité inacceptable.
Ne pas croquer ni écraser les comprimés. . ZELBORAF® possède un effet inducteur du cytochrome P450 3A4. Ainsi, tous les médicaments métabo- lisés par ces cytochromes sont susceptibles de voir leur concentration plasmatique augmenter ou diminuer (notamment les contraceptifs oraux). Des adaptations posologiques sont alors à envisager. . ZELBORAF® augmente l'exposition à la warfarine. La prudence est donc de rigueur en cas d'administration concomitante à la warfarine . L'utilisation de ZELBORAF® chez la femme en âge de procréer devra être accompagnée de mesures contra- ceptives adaptées, jusqu'à 6 mois après l'arrêt du traitement. ZELBORAF® peut diminuer l'efficacité des contraceptifs oraux. . En cas d'oubli d'une dose, la dose omise peut être prise jusqu'à 4 heures avant la dose suivante afin
de maintenir la fréquence d'administration à deux prises par jour. Les deux doses ne doivent pas être
prises simultanément.

. En cas de vomissement suite à l'administration de ZELBORAF®, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire et doit poursuivre le traitement de manière habituelle. . L'exposition au soleil est à éviter (vêtements couvrants, écrans solaires mixtes (UVA/UVB), baume pour
. Consulter rapidement le médecin en cas de réaction cutanée ou occulaire importante. 1 Caractéristiques, indications, posologie et principales recommandations des chimiothérapies orales N°8 Septembre 2014 ZYTIGA® ACETATE D'ABIRATERONE (JANSSEN CILAG)
. Comprimés ovales blancs dosés à 250 mg (flacon de 120) . A conserver à une température inférieure à 30°C.
. Disponible dans les pharmacies de ville.
ZYTIGA® est transformé in vivo en abiratérone qui est un inhibiteur de CYP17 et donc de la biosynthèse des androgènes.
► Ce médicament est indiqué en association avec la prednisone ou la prednisolone dans le traitement du cancer
métastatique de la prostate résistant à la castration chez les hommes adultes asymptomatiques ou peu symp-
tomatiques, après échec d'un traitement par suppression androgénique et pour lesquels la chimiothérapie
n'est pas encore cliniquement indiquée.

Chez les patients développant une hépatotoxicité au cours du traitement (augmentation de l'alanine aminotransfé-rase [ALAT] de plus de 5 fois la limite supérieure de la normale [LSN]), le traitement doit être interrompu immédia- tement. Après le retour des tests fonctionnels hépatiques à leurs valeurs initiales, la reprise du traitement, peut être effectuée à une dose réduite de 500 mg (deux comprimés) une fois par jour. Chez les patients pour qui le traitement a été réintroduit, les taux de transaminases sériques doivent être surveillés au minimum toutes les 2 semaines pendant les trois premiers mois puis tous les mois ensuite. Si l'hépatotoxicité réapparait à la dose réduite de 500 mg par jour, le traitement doit être arrêté.
La posologie recommandée de ZYTIGA® est de 1000 mg, soit 4 comprimés en une prise par jour et en
association avec 10 mg de prednisone ou prednisolone.
Les comprimés de ZYTIGA® ne doivent pas être administrés avec de la nourriture (risque d'augmentation de
l'exposition systémique à l'abiratérone) Le ZYTIGA® se prend quotidiennement en une prise par jour en dehors des repas. Un délai de deux heures
entre le repas et la prise est à respecter
. Après la prise de ZYTIGA®, il est conseillé d'attendre au moins une
heure avant de manger.
Les comprimés ne doivent pas être broyés, écrasés ou coupés.
. Une contraception efficace chez la femme et chez l'homme devra être mise en place.
Les femmes enceintes, allaitant ou susceptibles d'être enceinte doivent porter des gants si elles ont à toucher ou manipuler le ZYTIGA®.
. En cas d'oubli d'une prise, le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire ni doubler la prise suivante.
. Contacter rapidement le médecin en cas de :
- faiblesse musculaire, contractions musculaires,
- palpitations, douleurs thoraciques, essoufflements,- Prise de poids rapide.
2 Cicuit de dispensation - Ville et hôpital source AMELI au 04/07/14 source CAHPP au 04/07/14 CIRCUIT RETROCESSION
FABRIQUANT
PRIX PUBLIC
FABRIQUANT
PRIX PUBLIC
BOITE TTC
GENERIQUE RETROCESSION
AFINITOR ®
10 mg - comp B/30
radiation 07/06/2011 5 mg - comp B/30
radiation 07/06/2011 ALKERAN ® 2 mg -
comp B/50
BELUSTINE ® 40 mg
- gélule B/5
100 mg - comp B/30
300 mg - comp B/30
CELLTOP®
25 mg - caps B/40
50 mg - caps B/20
ENDOXAN ® 50 mg -
comp B/50
FLUDARA ®
10 mg - comp B/15
10 mg - comp B/20
100 mg - gelule B/120
100 mg - gelules B/180
100 mg - comp B/60
400 mg - comp B/30
HEXASTAT ® 100 mg
- gelule B/25
2 Cicuit de dispensation - Ville et hôpital N°8 Septembre 2014 CIRCUIT RETROCESSION
FABRIQUANT
PRIX PUBLIC
FABRIQUANT
PRIX PUBLIC
BOITE TTC
GENERIQUE RETROCESSION
AFINITOR ®
10 mg - comp B/30
radiation 07/06/2011 5 mg - comp B/30
radiation 07/06/2011 ALKERAN ® 2 mg -
comp B/50
BELUSTINE ® 40 mg
- gélule B/5
100 mg - comp B/30
300 mg - comp B/30
CELLTOP®
25 mg - caps B/40
50 mg - caps B/20
ENDOXAN ® 50 mg -
comp B/50
FLUDARA ®
10 mg - comp B/15
10 mg - comp B/20
100 mg - gelule B/120
100 mg - gelules B/180
100 mg - comp B/60
400 mg - comp B/30
HEXASTAT ® 100 mg
- gelule B/25
2 Cicuit de dispensation - Ville et hôpital LABORATOIRE FABRIQUANT PRIX PUBLIC FABRIQUANT PRIX PUBLIC
BOITE TTC
HYCAMTIN ®
0,25 mg- gelules
1 mg - gelules
HYDREA ® 500 mg
- gelules B/20
INLYTA ®
1 mg - comp B/28
1 mg - comp B/56
5 mg - comp B/28
5 mg - comp B/56
IRESSA ® 250 mg
- comp B/30
LANVIS ® 40 mg
METHOTREXATE ®
oui pas les mêmes 2,5 mg - comp B/20
MYLERAN ® 2 mg
- comp B/25
NATULAN ® 50 mg
- gelule B/50
NAVELBINE ®
20 mg - capsule
30 mg - capsule
NEXAVAR ® 200 mg
- comp B/112
PURINETHOL ®
50 mg - B/25
2 Cicuit de dispensation - Ville et hôpital N°8 Septembre 2014 LABORATOIRE FABRIQUANT PRIX PUBLIC FABRIQUANT PRIX PUBLIC
BOITE TTC
HYCAMTIN ®
0,25 mg- gelules
1 mg - gelules
HYDREA ® 500 mg
- gelules B/20
INLYTA ®
1 mg - comp B/28
1 mg - comp B/56
5 mg - comp B/28
5 mg - comp B/56
IRESSA ® 250 mg
- comp B/30
LANVIS ® 40 mg
METHOTREXATE ®
oui pas les mêmes 2,5 mg - comp B/20
MYLERAN ® 2 mg
- comp B/25
NATULAN ® 50 mg
- gelule B/50
NAVELBINE ®
20 mg - capsule
30 mg - capsule
NEXAVAR ® 200 mg
- comp B/112
PURINETHOL ®
50 mg - B/25


2 Cicuit de dispensation - Ville et hôpital LABORATOIRE FABRIQUANT PRIX PUBLIC FABRIQUANT FABRIQUANT
BOITE TTC
SPRYCEL ®
100 mg - comp
140 mg - comp
20 mg - comp
50 mg - comp
70 mg - comp
STIVARGA ® 40 mg
Seules les poursuites de traitement initiées avant le 15 mai 2014 - comp B/84
bénéficient du dispositif expérimental jusqu'à la décision relative à l'inscription du produit au remboursement.
SUTENT ®
12,5 mg -gelule
25 mg - gelule
50 mg - gelule
TAFINLAR ®
50 mg - gelule
75 mg - gelule
TARCEVA ®
25 mg - comp
100 mg - comp
150 mg - comp
2 Cicuit de dispensation - Ville et hôpital N°8 Septembre 2014 LABORATOIRE FABRIQUANT PRIX PUBLIC FABRIQUANT FABRIQUANT
BOITE TTC
SPRYCEL ®
100 mg - comp
140 mg - comp
20 mg - comp
50 mg - comp
70 mg - comp
STIVARGA ® 40 mg
- comp B/84
SUTENT ®
12,5 mg -gelule
25 mg - gelule
50 mg - gelule
TAFINLAR ®
50 mg - gelule
75 mg - gelule
TARCEVA ®
25 mg - comp
100 mg - comp
150 mg - comp
2 Cicuit de dispensation - Ville et hôpital LABORATOIRE FABRIQUANT PRIX PUBLIC FABRIQUANT
FABRIQUANT
BOITE TTC
TASIGNA ®
150 mg - gelules
150 mg - gelules
200 mg - gelules
200 mg - gelules
TEMODAL ®
5 mg - gelule B/5
oui Temozolomide 20 mg - gelule B/5
oui Temozolomide 100 mg - gelule
oui Temozolomide 140 mg - gelule
oui Temozolomide 180 mg - gelule
oui Temozolomide 250 mg - gelule
oui Temozolomide TYVERB ®
250 mg - comp
250 mg - comp
250 mg - comp
VERCYTE ® 25 mg
- comp B/30
VESANOID ®
10 mg - capsule
2 Cicuit de dispensation - Ville et hôpital N°8 Septembre 2014 LABORATOIRE FABRIQUANT PRIX PUBLIC FABRIQUANT
FABRIQUANT
BOITE TTC
TASIGNA ®
150 mg - gelules
150 mg - gelules
200 mg - gelules
200 mg - gelules
TEMODAL ®
5 mg - gelule B/5
oui Temozolomide 20 mg - gelule B/5
oui Temozolomide 100 mg - gelule
oui Temozolomide 140 mg - gelule
oui Temozolomide 180 mg - gelule
oui Temozolomide 250 mg - gelule
oui Temozolomide TYVERB ®
250 mg - comp
250 mg - comp
250 mg - comp
VERCYTE ® 25 mg
- comp B/30
VESANOID ®
10 mg - capsule
2 Cicuit de dispensation - Ville et hôpital LABORATOIRE FABRIQUANT PRIX PUBLIC FABRIQUANT
FABRIQUANT
BOITE TTC
XALKORI ®
200 mg -gelules
250 mg -gelules
XELODA ®
150 mg - comp
500 mg - comp
XTANDI ® 40 mg
- caps B/112
ZAVEDOS ®
10 mg - gelule B/1
25 mg - gelule B/1
5 mg - gelule B/1
ZELBORAF ®
240 mg comp B/56
ZYTIGA ® 250 mg
- comp B/120
radiation 12/12/2013 2 Cicuit de dispensation - Ville et hôpital N°8 Septembre 2014 LABORATOIRE FABRIQUANT PRIX PUBLIC FABRIQUANT
FABRIQUANT
BOITE TTC
XALKORI ®
200 mg -gelules
250 mg -gelules
XELODA ®
150 mg - comp
500 mg - comp
XTANDI ® 40 mg
- caps B/112
ZAVEDOS ®
10 mg - gelule B/1
25 mg - gelule B/1
5 mg - gelule B/1
ZELBORAF ®
240 mg comp B/56
ZYTIGA ® 250 mg
- comp B/120
radiation 12/12/2013 Risque d'hypertension intracrânienne.
Diminution de l'absorption digestive du strontium.
Prendre le strontium à distance des cyclines (plus de deux heures, si possible).
+ VITAMINE A
En cas d'apport de 10,000 UI/j et plus : risque d'hypertension Diminution de l'absorption digestive des cyclines.
Prendre les sels de zinc à distance des cyclines (plus de 2 heures si possible).
Voir aussi : cytotoxiques Majoration du risque de toxicité pulmonaire pouvant être fatale.
Voir aussi : médicaments atropiniques - médicaments sédatifs + INHIBITEURS SÉLECTIFS DE LA RECAPTURE DE LA SÉROTONINE
Risque de diminution de l'efficacité de l'antidépresseur.
A prendre en compte
CYP Intér
actions médicamenteuses : mise à jour Voir aussi : progestatifs contraceptifs ANSM janvier 2014 Diminution de l'efficacité du progestatif, par augmentation de son métabolisme hépatique par le millepertuis.
(altretamine, amsacrine, asparaginase, azathioprine, bleomycine, bortezomib, busulfan, cabazitaxel, capecitabine, carboplatine, carmustine, chlorambucil, chlormethine, cisplatine, cladribine, cyclophosphamide, cytarabine, dacarbazine, dactinomycine, daunorubicine, décitabine, docetaxel, doxorubicine, epirubicine, estramustine, etoposide, fludarabine, fluorouracile, fotemustine, gemcitabine, hydroxycarbamide, idarubicine, ifosfamide, irinotecan, lomustine, melphalan, mercaptopurine, methotrexate, miltefosine, mitoguazone, mitomycine c, mitoxantrone, oxaliplatine, paclitaxel, pentostatine, pipobroman, pirarubicine, plicamycine, procarbazine, raltitrexed, streptozocine, tegafur, temozolomide, thiotepa, tioguanine, topotecane, vinblastine, vincristine, vindesine, vinorelbine) + ANTIVITAMINES K
Augmentation du risque thrombotique et hémorragique au cours des affections tumorales. De surcroit, possible interaction entre les Contrôle plus fréquent de l'INR.
AVK et la chimiothérapie.
Immunodépression excessive avec risque de syndrome lympho- A prendre en compte
+ PHÉNYTOÏNE (ET, PAR EXTRAPOLATION, FOSPHÉNYTOÏNE)
Risque de survenue de convulsions par diminution de l'absorption digestive de la seule phénytoïne par le cytotoxique, ou bien risque de majoration de la toxicité ou de perte d'efficacité du cytotoxique par augmentation de son métabolisme hépatique par la phénytoïne ou la fosphénytoïne.
+ VACCIN ANTIAMARILE
Risque de maladie vaccinale généralisée mortelle.
+ VACCINS VIVANTS ATTÉNUÉS (SAUF ANTIAMARILE)
Risque de maladie vaccinale généralisée éventuellement mortelle. Ce risque est majoré chez les sujets déjà immunodéprimés par la Utiliser un vaccin inactivé lorsqu'il existe (poliomyélite).
ANSM - Janvier 2014 (vinblastine, vincristine, vindesine, vinflunine, vinorelbine) + INHIBITEURS DE PROTÉASES BOOSTÉS PAR RITONAVIR
Majoration de la toxicité de l'antimitotique, par diminution de son métabolisme hépatique par l'inhibiteur de protéases.
Surveillance clinique étroite et adaptation éventuelle de la posologie de l'antimitotique.
Majoration de la neurotoxicité de l'antimitotique, par diminution de son métabolisme hépatique par l'itraconazole.
+ MITOMYCINE C
Risque de majoration de la toxicité pulmonaire de la mitomycine et A prendre en compte
Majoration de la neurotoxicité de l'antimitotique, par diminution de son métabolisme hépatique par le posaconazole.
VITAMINE A
En cas d'apport de 10,000 UI/j et plus : risque d'hypertension Risque de symptômes évocateurs d'une hypervitaminose A.
VITAMINE D
(alfacalcidol, calcitriol, cholecalciferol, ergocalciferol) Diminution de l'absorption de la vitamine D.
A prendre en compte
Voir aussi : antifongiques azolés - inhibiteurs puissants du CYP3A4 + ALCALOÏDES DE L'ERGOT DE SEIGLE VASOCONSTRICTEURS
Risque de vasoconstriction coronaire ou des extrémités (ergotisme), ou de poussées hypertensives.
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes, par possible diminution du métabolisme de Surveillance clinique et ECG, et adaptation éventuelle de la posologie de l'amiodarone.
+ ANTICONVULSIVANTS INDUCTEURS ENZYMATIQUES
- pour carbamazépine, phénobarbital, primidone : Risque de baisse CI - ASDEC
de l'efficacité du voriconazole par augmentation de son Contre-indication : métabolisme hépatique par l'inducteur.
- pour carbamazépine, phénobarbital, primidone - pour phénytoïne, fosphénytoïne : Association déconseillée : Diminution importante des concentrations plasmatiques du - pour phénytoïne, fosphénytoïne voriconazole avec risque de perte d'efficacité, par augmentation de Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique étroite, dosage son métabolisme hépatique par la phénytoïne, d'une part, et des concentrations plasmatiques de phénytoïne et adaptation augmentation des concentrations plasmatiques de la phénytoïne éventuelle des posologies pendant l'association et après l'arrêt du par diminution de son métabolisme hépatique par le voriconazole, d'autre part.
+ ANTIVITAMINES K
Augmentation de l'effet de l'antivitamine K et du risque hémorragique par diminution de son métabolisme hépatique.
Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'antivitamine K pendant le traitement par voriconazole et 8 jours après son arrêt.
ANSM - Janvier 2014 Augmentation des concentrations de solifénacine, avec risque de Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de solifénacine.
Diminution des concentrations du télaprévir et du darunavir ou du fosamprénavir, avec risque d'échec thérapeutique.
+ THÉOPHYLLINE (ET, PAR EXTRAPOLATION, AMINOPHYLLINE)
Diminution des concentrations plasmatiques de la théophylline, par augmentation de son métabolisme hépatique.
Surveillance clinique et éventuellement de la théophyllinémie ; s'il y a lieu, adaptation de la posologie de la théophylline pendant le traitement par l'inhibiteur de protéases et après son arrêt.
Augmentation importante des concentrations de ticagrelor par diminution de son métabolisme hépatique, avec baisse des concentrations de son métabolite actif.
Augmentation des concentrations de toltérodine chez les métaboliseurs lents, avec risque de surdosage.
Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par augmentation de son métabolisme hépatique par le ritonavir.
Préférer une alternative thérapeutique peu ou pas métabolisée.
Augmentation des concentrations de venlafaxine avec risque de A prendre en compte
Majoration de la toxicité de l'antimitotique, par diminution de son métabolisme hépatique par l'inhibiteur de protéases.
Surveillance clinique étroite et adaptation éventuelle de la posologie de l'antimitotique.
Baisse très importante des concentrations de l'antifongique par augmentation de son métabolisme par le ritonavir, avec risque d'échec du traitement.
Légère augmentation des effets sédatifs du zolpidem.
A prendre en compte
3 Intéractions médicamenteuses : mise à jour ANSM janvier 2014 N°8 Septembre 2014 Légère augmentation des effets sédatifs de la zopiclone.
A prendre en compte
INHIBITEURS DES TYROSINE KINASES
(axitinib, bosutinib, crizotinib, dabrafénib, dasatinib, erlotinib, gefitinib, imatinib, lapatinib, nilotinib, pazopanib, ruxolitinib, sorafenib, sunitinib, vandétanib) + ANTICONVULSIVANTS INDUCTEURS ENZYMATIQUES
Diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, par augmentation de son métabolisme par l'inducteur.
+ ANTISÉCRÉTOIRES ANTIHISTAMINIQUES H2
Il faut prendre en compte le fait que les substances atropiniques peuvent additionner leurs effets indésirables et entraîner plus facilement une rétention urinaire, une poussée aig uë de gl isque de di A prendre en compte
Les divers médica k és par l-dépendant es antidépr e.
esseurs imipraminiques, la plupart des antihistaminiques H1 atropiniques, les antiparkinsoniens anticholinergiques, les antispasmodiques atropiniques, le disopyramide, les neuroleptiques phénothiaziniques ainsi que la clozapine.
(acepromazine, aceprometazine, alimemazine, amitriptyline, amoxapine, atropine, azatadine, azelastine, biperidene, brompheniramine, buclizine, chlorphenamine, + A
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emazine, cyclopentolate, cyproheptadine, darifenacine, desipramine, dexchlorpheniramine, di(acefylline) diphenhydramine, dihexyverine, dimenhydrinate, diphenhydramine, disopyramide, dosulepine, doxepine, doxylamine, fesoterodine, flunarizine, flupentixol, Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine A prendre en compte
fluphenazine, histapyrrodine, homatropine, hydroxyzine, imipramine, indoramine, ipratropium, isothipendyl, levomepromazine, maprotiline, méclozine, mefenidramium, kinases, en raison de son absorption pH-dépendante.
mepyramine, mequitazine, metopimazine, mizolastine, niaprazine, nortriptyline, opipramol, oxatomide, oxitropium, oxomemazine, oxybutynine, perphenazine, pheniramine, phe ene, prochlorpe P
e, propericiazine, quinidine, scopolamine, solifenacine, thenyldiamine, thioproperazine, tolterodine, trifluoperazine, trihexyphenidyle, trimipramine, trP us de deux heures, si + INHIBITEURS PUISSANTS DU CYP3A4
+ AUTRES MÉDICAMENTS ATROPINIQUES
Risque de majoration des effets indésirables de l'inhibiteur de ASDEC - PE
Addition des effets indésirables atropiniques à type de rétention A prendre en compte
+ FER
ANSM - Janvier 2014 tyrosine kinase par diminution de son métabolisme.
urinaire, constipation, sécheresse de la bouche….
Association déconseillée : Diminution de l'absorption digestive du strontium.
Prendre le strontium à distance des sels de fer (plus de deux heures, si Précaution d'emploi avec les autres ITK : IQ eillanc
UES e clinique
a IL
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clomipramine, duloxetine, imipramine, milnacipran, oxitriptan, sibutramine, venlafaxine) + ADRÉNALINE (D
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auti -INDI
l'inhibiteur de tyrosine kinase, par augmentation de son Troubles du rythme ventriculaire graves par augmentation de récauti e stront
on d'e ium
stance des fluoroquinolones (plus de deux métabolisme par le millepertuis.
heures, si possible).
Limiter l'apport, par exemple : moins de 0,1 mg d'adrénaline en 10 minutes ou 0,3 mg en 1 heure chez l'adulte.
+ R
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+ IMAO IRR
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um. 'efficacité de uttiion D
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l'inhibiteur de tyrosine kinase, par augmentation de son Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique : diarrhée, RE-I tront
CATI à di
ON stance des sels de zinc (plus de deux heures,
métabolisme par l'inducteur.
tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma.
si possible).
Respecter un délai de deux semaines entre l'arrêt de l'IMAO et le début de l'autre traitement, et d'au moins une semaine entre l'arrêt de l'autre SUBST EURS
traitement et le début de l'IMAO.
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at. , elle n'est plus en mesure de métaboliser le médicament qui va alors s'accumuler. Si la marge thérapeutique de ce Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique : diarrhée, médicament est étroite et qu'il n'y a pas d'autre voie métabolique efficace, le risque d'observer une interaction cliniquement significative devient élevé.
tachycardie, sueur, confusion voire coma.
(alfentanil, atorvastatine, avanafil, bortezomib, cabazitaxel, ciclosporine, dasatinib, dihydroerg lumefantrine, methylergometrine, methysergide, m andées.e, quinine, - les inhibiteurs de protéase, et plus particulièrement le ritonavir (quelle que soit la dose) et le nelfinavir, C rt
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B ides (la clarithromycine, l'érythromycine, la télithromycine).
Risque d'échec thérapeutique en cas de traitement concomitant par A prendre en compte
Risque de majoration de la toxicité de ces molécules par diminution Parmi les substrats du at. 3A4 à marge thérapeutique étroite et pour lesquels un risque de surdosage est plus particulièrement à redouter en cas d'association avec de leur métabolisme et/ou augmentation de leur biodisponibilité par un inhibiteur du CYP3A4, on peut citer : le crizotinib.
- les alcaloïdes vasoconstricteurs de l'ergot de seigle (ergotamine, surtout, mais aussi dihydroergotamine, méthylergométrine, méthysergide) : risque d'ergotisme ;- les immunosuppresseurs (ciclosporine, tacrolimus…) : risque néphrotoxique ; + SYMPATHOMIMÉTIQUES ALPHA ET BÊTA (VOIE IM ET IV)
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4 indre mesure, atorvastatine) : risque musculaire, notamment rhabdomyolyse ;
- certains médicament Majoration des effets indésirables propres à chaque substrat, avec A prendre en compte
- des médicaments dép méti anil, fenta bre entanil, oxycodone, triazolam, midazolam ; conséquences souvent sévères.
- certains cytotoxique que).b, docétaxel, inhibiteurs des tyrosine kinases.
Pour connaître les risques et les niveaux de contrainte de chacun de ces substrats, il convient de se reporter aux interactions spécifiques avec chaque inhibiteur.
(boceprevir, clarithromycine, cobicistat, erythromycine, itraconazole, ketoconazole, nelfinavir, posaconazole, ritonavir, telaprevir, telithromycine, voriconazole) L'utilisation conjointe de médicaments ayant une toxicité rénale propre augmente le risque de néphrotoxicité. Si une telle association est nécessaire, il faut renforcer la + ANT
la IT
nc AM
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ologi S K
que rénale.
Les médicaments concernés sont représentés notamment par les produits de contraste iodés, les aminosides, les organoplatines, le méthotrexate à fortes doses, Diminution de l'absorption digestive de l'antivitamine K.
certains antiviraux ( A e foscar seur res porine ou le tP
opiacé par diminution de son métabolisme hépatique.
Prendre le sucralfate à distance de l'antivitamine K (plus de 2 heures, si Surveillance clinique et adaptation de la posologie de l'analgésique (aciclovir, acide amidotrizoïque, acide clodronique, acide ioxaglique, acide ioxitalamique, a pos cisplatine, colistine, dibekacine, foscarnet, ganciclovir, gentamicine, ifosfamide, iobitridol, iodixanol, iohexol, iomeprol, iopamidol, iopentol, iopromide, ioversol, s IG
ep O
am X
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ne, kanamycine, methotrexate, netilmicine, oxaliplatine, pentamidine, spectinomycine, streptomycine, streptozocine, tacrolimus, teicoplanine, tenofovir disoproxil, tobramycine, valaciclovir, valganciclovir, vancomycine) Diminution de l'absorption digestive de la digoxine.
Risque d'augmentation des concentrations plasmatiques de + AUTRES MÉDICAMENTS NÉPHROTOXIQUES
l'alfuzosine et de ses effets indésirables.
Prendre le sucralfate à distance de la digoxine (plus de 2 heures, si Risque de majoration de la néphrotoxicité.
ndre en compte
+ ANTAGONISTES DES CANAUX CALCIQUES
Diminution de l'absorption digestive des fluoroquinolone.
Majoration des effets indésirables de l'antagoniste des canaux S ype d'hypotension notamment chez le
Prendre le sucralfate à distance des fluoroquinolone (plus de 2 heures, Surveillance clinique et adaptation posologique pendant le traitement sujet âgé.
si possible).
L'utilisation conjointe de médicaments ayant une ototoxicité augmente le risque d'atteinte c par l ation es .t nécessaire, il convient de renforcer la surveillance de la fonction auditive.
+ BO
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co R
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notamment, les glycopeptides tels que vancomycine et teicoplanine, les aminosides, les organoplatines et les diurétiques de l'anse.
Diminution de l'absorption digestive des hormones thyroïdiennes.
(amikacine, bumet R ge ntamicine, ise Pré
ne, netilmicine, oxaliplatine, piretanide, streptomycine, teicoplanine, tobra neurol minution de son métabolisme.
Prendre les hormones thyroïdiennes à distance du sucralfate (plus de 2 Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie du heures, si possible).
bortezomib pendant la durée du traitement par l'inhibiteur enzymatique.
+ AUTRES MÉDICAMENTS OTOTOXIQUES
+ CAB
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é. TION, FOSPHÉNYTOÏNE)
A prendre en compte
a phényt e-dépendant cabazitaxel par inhibition de son métabolisme par l'inhibiteur e de l entuelle de l ne (plusologie du de 2 heures, si e). pendant le traitement par l'inhibiteur enzymatique.
+ D
S A
E E
ride. amment à type de auti -INDI
vertiges ou de syncopes.
Prendre le sucralfate à distance du sulpiride (plus de 2 heures, si possible).
ANSM - Janvier 2014 Risque de majoration des effets indésirables dose-dépendants du docétaxel par inhibition de son métabolisme par l'inhibiteur Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie du docétaxel pendant le traitement par l'inhibiteur enzymatique.
ANSM - Janvier 2014 ANSM - Janvier 2014 Il faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substances peuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central et contribuer à diminuer la vigilance. Il s'agit des dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques, des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que les benzodiazépines (par exemple, le méprobamate), des hypnotiques, des antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertenseurs centraux, du baclofène et du thalidomide.
(acepromazine, aceprometazine, agomelatine, alfentanil, alimemazine, alizapride, allobarbital, alprazolam, amantadine, amisulpride, amitriptyline, amobarbital, apomorphine, aripiprazole, avizafone, azatadine, azelastine, baclofene, barbital, bromazepam, bromocriptine, brompheniramine, brotizolam, buclizine, buprenorphine, butalbital, butobarbital, cabergoline, camazepam, captodiame, carbinoxamine, chlordiazepoxide, chlorphenamine, chlorphenoxamine, chlorproethazine, chlorpromazine, clobazam, clocinizine, clonazepam, clonidine, clorazepate, clotiazepam, cloxazolam, clozapine, codeine, cyamemazine, cyclizine, cyclobarbital, cyproheptadine, dapoxétine, delorazepam, dexchlorpheniramine, dexmédétomidine, dextromethorphane, dextromoramide, di(acefylline) diphenhydramine, diazepam, dihydrocodeine, dimenhydrinate, diphenhydramine, doxepine, doxylamine, droperidol, entacapone, estazolam, ethylmorphine, etifoxine, fenspiride, fentanyl, fluanisone, fludiazepam, flunarizine, flunitrazepam, flupentixol, fluphenazine, flurazepam, guanfacine, halazepam, haloperidol, haloxazolam, histapyrrodine, hydromorphone, hydroxyzine, indoramine, isothipendyl, ketazolam, ketotifene, levomepromazine, lisuride, loflazépate, loprazolam, lorazepam, lormetazepam, loxapine, méclozine, medazepam, mefenidramium, meprobamate, mepyramine, mequitazine, methadone, methyldopa, methylphenobarbital, metoclopramide, metopimazine, mianserine, midazolam, mirtazapine, mizolastine, morphine, moxonidine, nalbuphine, nalorphine, naloxone, naltrexone, nefopam, niaprazine, nimetazepam, nitrazepam, nordazepam, noscapine, olanzapine, oxatomide, oxazepam, oxazolam, oxetorone, oxomemazine, oxycodone, paliperidone, penfluridol, pentazocine, pentobarbital, pérampanel, pergolide, perphenazine, pethidine, pheniramine, phenobarbital, phenyltoloxamine, pholcodine, pimethixene, pimozide, pinazepam, pipamperone, piperazine, pipotiazine, piribedil, pizotifene, pramipexole, prazepam, pregabaline, primidone, prochlorperazine, promethazine, propericiazine, quinagolide, rasagiline, remifentanil, rilmenidine, risperidone, ropinirole, rotigotine, rupatadine, secbutabarbital, selegiline, sufentanil, sulpiride, sultopride, tapentadol, temazepam, tetrabenazine, tetrazepam, thalidomide, thenyldiamine, thiopental, thioproperazine, tiapride, tramadol, trifluoperazine, trifluperidol, trimipramine, triprolidine, vinylbital, zolpidem, zopiclone, zuclopenthixol) + ALCOOL (BOISSON OU EXCIPIENT)
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altération de la vigilance peut rendre dangeureuses la conduite de Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de véhicules et l'utilisation de machines.
+ A Intér
UTRES M actions médicamenteuses : mise à jour
ANSM janvier 2014 Majoration de la dépression centrale.
A prendre en compte
L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
MÉDICAMENTS SUSCEPTIBLES DE DONNER DES TORSADES DE POINTES
Ce trouble du rythme cardiaque grave peut être provoqué par un certain nombre de médicaments, antiarythmiques ou non. L'hypokaliémie (cf. médicaments hypokaliémiants) est un facteur favorisant, de même que la bradycardie (cf. médicaments bradycardisants) ou un allongement préexistant de l'intervalle QT, congénital ou acquis.
Les médicaments à l'origine de cet effet indésirable sont notamment les antiarythmiques de classe Ia et III, et certains neuroleptiques. D'autres molécules n'appartenant pas à ces classes sont également en cause.
Pour le dolasétron, l'érythromycine, la spiramycine et la vincamine, seules les formes administrées par voie intraveineuse sont concernées par cette interaction.
L'utilisation d'un médicament torsadogène avec un autre médicament torsadogène est contre-indiquée en règle générale.
Toutefois certains d'entre eux, en raison de leur caractère incontournable, font exception à la règle, en étant seulement déconseillés avec les autres torsadogènes. Il s'agit de la méthadone, des antiparasitaires (halofantrine, luméfantrine, pentamidine) et des neuroleptiques.
Cependant, le citalopram et l'escitalopram ne suivent pas cet assouplissement, et sont contre-indiqués avec tous les torsadogènes.
(amiodarone, amisulpride, arsenieux, chlorpromazine, citalopram, cyamemazine, diphemanil, disopyramide, dofetilide, dolasetron, domperidone, dronedarone, droperidol, erythromycine, escitalopram, flupentixol, fluphenazine, halofantrine, haloperidol, hydroquinidine, ibutilide, levofloxacine, levomepromazine, lumefantrine, mequitazine, methadone, mizolastine, moxifloxacine, pentamidine, pimozide, pipamperone, pipotiazine, prucalopride, quinidine, sotalol, spiramycine, sulpiride, sultopride, tiapride, toremifene, vandétanib, vincamine, zuclopenthixol) + ANTIPARASITAIRES SUSCEPTIBLES DE DONNER DES TORSADES DE POINTES
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Sauf avec le citalopram et l'escitalopram (contre-indiqués).
Si cela est possible, interrompre l'un des deux traitements. Si l'association ne peut être évitée, contrôle préalable du QT et surveillance ECG monitorée.
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.
+ BÊTA-BLOQUANTS DANS L'INSUFFISANCE CARDIAQUE
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique.
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique.
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de ANSM - Janvier 2014 torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l134/211 Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Corriger toute hypokaliémie avant d'administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Sauf avec le citalopram et l'escitalopram (contre-indiqués).
+ NEUROLEPTIQUES SUSCEPTIBLES DE DONNER DES TORSADES DE POINTES
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Sauf avec le citalopram et l'escitalopram (contre-indiqués).
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.
+ TORSADOGÈNES (SAUF ANTIPARASITAIRES, NEUROLEPTIQUES, MÉTHADONE)
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Voir aussi : bradycardisants - médicaments abaissant le seuil épileptogène Pour la quinine administrée par voie IV : risque majoré de survenue de crises épileptiques par addition des effets proconvulsivants.
Respecter un délai minimum de 12 heures entre la fin de l'administration IV de quinine et le début de l'administration de méfloquine.
+ VALPROÏQUE (ACIDE) ET, PAR EXTRAPOLATION, VALPROMIDE
Risque de survenue de crises épileptiques par augmentation du métabolisme du valproate de sodium et effet proconvulsivant de la méfloquine.
Voir aussi : médicaments atropiniques - médicaments susceptibles de donner des torsades de pointes - médicaments sédatifs - torsadogènes (sauf antiparasitaires, neuroleptiques, méthadone) Risque de majoration des effets indésirables de la méquitazine, par inhibition de son métabolisme par l'inhibiteur enzymatique.
Risque de majoration des effets indésirables de la méquitazine, par inhibition de son métabolisme par l'inhibiteur enzymatique.
Risque de majoration des effets indésirables de la méquitazine, par inhibition de son métabolisme par l'inhibiteur enzymatique.
Risque de majoration des effets indésirables de la méquitazine, par inhibition de son métabolisme par l'inhibiteur enzymatique.
Risque de majoration des effets indésirables de la méquitazine, par inhibition de son métabolisme par l'inhibiteur enzymatique.
ANSM - Janvier 2014 + DIURÉTIQUES THIAZIDIQUES ET APPARENTÉS
Augmentation de la lithémie avec signes de surdosage en lithium, comme lors d'un régime désodé (diminution de l'excrétion urinaire Si l'association ne peut être évitée, surveillance stricte de la lithémie et du lithium).
adaptation de la posologie du lithium.
Diminution de la lithémie avec risque de baisse de l'efficacité Surveillance stricte de la lithémie et adaptation éventuelle de la posologie du lithium.
+ INHIBITEURS DE L'ENZYME DE CONVERSION
Augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques (diminution de l'excrétion rénale du lithium).
Si l'usage d'un IEC est indispensable, surveillance stricte de la lithémie et adaptation de la posologie du lithium.
+ INHIBITEURS SÉLECTIFS DE LA RECAPTURE DE LA SÉROTONINE
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique.
Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en début d'association.
Diminution de la lithémie avec risque de baisse de l'efficacité Surveillance stricte de la lithémie et adaptation éventuelle de la posologie du lithium.
Augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs Voir aussi : anticonvulsivants métabolisés toxiques, avec signes de surdosage en lithium.
Surveillance clinique et adaptation de la posologie de lithium.
Diminution des concentrations plasmatiques d'éthosuximide.
Surveillance clinique, dosage plasmatique de l'éthosuximide et Augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs Préc ent
on d'e ent
oi le de sa posologie.
toxiques, avec signes de surdosage en lithium.
Surveillance stricte de la lithémie et adaptation éventuelle de la posologie du lithium.
Pour des doses de fluconazole >= 200 mg par jour : augmentation Voir aussi : anti-inflamm Adapter la posologie de carbamazépine, pendant et après l'arrêt du Risque d'apparition de signes neuropsychiques évocateurs d'un A prendre en compte
Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en début d'association.
3 Intéractions médicamenteuses : mise à jour ANSM janvier 2014 Risque d'augmentation des concentrations sanguines de l'immunosuppresseur par inhibition de son métabolisme et de la Dosage des concentrations sanguines de l'immunosuppresseur, contrôle de la fonction rénale et adaptation de sa posologie pendant ETRAVIRINE Risque d'échec thérapeutique en cas de t O
N°8 Septembre 2014 on et ompt
son arrêt.
+ CL
IV AR
AFT O
entat tiement des auti e en c
a clarithromycine par + SODIUM (BICARBONATE DE)
Réduire la dose de moitié, soit 150 mg/j.
augmentation de son métabolisme hépatique par l'étravirine.
Risque de baisse de l'efficacité du lithium par augmentation de son élimination rénale par les sels de sodium.
+ LO O
Eviter les surcharges sodées et tenir compte de la présence de sodium dans certains médicaments comme les antiacides.
Voir aussi : immunosup an, par inhibition de la A prendre en compte
+ SODIUM (CHLOR
f UR
orm E
ati DE)
on de son métabolite actif par le fluconazole.
Risque de baisse de l'efficacité du lithium par augmentation de son Augmentation des concentrations sanguines de l'évérolimus par la élimination rénale par les sels de sodium.
ciclosporine. La néphrotoxicité de la ciclosporine est également Eviter les surcharges sodées et tenir compte de la présence de sodium Dosage des concentrations sanguines d'évérolimus, éventuellement augmentée lors de l'association.
dans certains médicaments comme les antiacides.
adaptation de la posologie et contrôle de la fonction rénale, pendant Doublement des concentrations de névirapine avec risque l'association et après son arrêt.
d'augmentation de ses effets indésirables.
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de la Diminution de la lithémie avec risque de baisse de l'efficacité hérapeuti ion des concentrations sanguines de l'évérolimus par Surveillance stricte de la lithémie et adaptation éventuelle de la + PHÉNYTOÏNE (dim
ET i,nution de s
PAR
EXTRA étabol
A m
TI e hépat
ON, F ique par l
E) .
ions sanguines de l'immunosuppresseur, Risque d'hypertension intracrânienne.
Augmentation des concentrations plasmatiques de phénytoïne Pré rôl
em tion rénal
e et adaptation de la posologie pendant pouvant atteindre des valeurs toxiques. Mécanisme invoqué : l'association et après son arrêt.
Surveillance clinique et biologique étroite.
inhibition du métabolisme hépatique de la phénytoïne.
EXEMESTANEPour des doses de topiramatre >= 200 mg par jour : augmentation
de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques, avec signes Surveillance clinique et biologique. Adaptation de la posologie du + RIF
RI A
F MP
de surdosage en lithium.
Diminution de l'absorption digestive du strontium.
de la rifabutine auti e en c
Prendre le strontium à distance des cyclines (plus de deux heures, si es conc ique par l llance clinique et biologique régulière, notamment en début abolite actif.
Voir aussi : cytotoxiques + VITAMINE A
A T
MP IN
A R
ÉVER n c
SI as
BL d'apport
ES, Y de 10,
PRIS LI/Ij et
N pl
EZ us
O :
LI ri
E ET h
EU D ion
E MÉTHYL CO
conc ilisée à des et de l ou égal + CICLOSPORINERisque de poussée hypertensive, par perte de sélectivité sur la
que par la rifétabol ne). que majoré d'effets indésirables (concentration- tyramine (fromage, bière,…).
dépendants) à type de rhabdomyolyse, par augmentation des concentrations d'ézétimibe ; d'autre part, possible augmentation + SULFAMIDES HYPOGLYCÉMIANTS
S SÉL i onc
S D
E LA i i
E D yclines
E LA .
Augmentation du temps de demi-vie du sulfamide avec survenue + FENOFIBRATE Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique.
e à distance des cyclines (plus de 2 heures si
Endoxan® possible de manifestations d'hypoglycémie.
enir le patient, renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter ANSM - Janvier 2014 ithiase biliaire par augmentation de l'excrétion biliaire du uellion D
e du sulfamide pendant le trait 130/211 + THÉOPHYLLINE (ET, PAR EXTRAPOLATION, AMINOPHYLLINE)
L r aus
D : c
Augmentation de la théophyllinémie avec risque de surdosage Augmentation du risque d'hypotension orthostatique.
A prendre en compte
(diminution de la clairance de la théophylline).
Surveillance clinique et éventuellement de la théophyllinémie ; s'il y a Voir aussi : anticonvul que de toxicité pulmonaire pouvant être fatale.
adaptati ECO
on de l NSEI
ogie de la théophylline pendant le traitement par le fluconazole et après son arrêt.
INE ugmentation des concentrations plasmatiques du métabolite actif
Surveillance clinique, dosages plasmatiques et adaptation éventuelle des posologies des deux anticonvulsivants.
Voir aussi : médicamen que (addition d'effets de t T, P
édull E
ai X
re). TRAPOLATION, PRIMIDONE)
+ INHIBITEURS SÉLECTIFS DE LA RECAPTURE DE LA SÉROTONINE
Contrôle plus fréquent de l'hémogramme.
Diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité du Risque de diminution de l'efficacité de l'antidépresseur.
A prendre en compte
A prendre en compte
Surveillance clinique et contrôle des concentrations plasmatiques de tal, avec risque de surdosage.
phénobarbital avec adaptation de la posologie si besoin.
Voir aussi : cytotoxiques + PHÉNYTOÏNE (ET, PAR EXTRAPOLATION, FOSPHÉNYTOÏNE)
+ TRIPTANS MÉTABOLISÉS PAR LA MAO
Augmentation des concentrations plasmatiques de phénytoïne Voir aussi : progestatif on du ri sque de toxicité pulmonaire pouvant être fatale.
que d'hypert urdos onstricti étabol Surveillance clinique, contrôle des concentrations plasmatiques de + MILLEPERTUI f
S el
phénytoïne et si besoin, adaptation de sa posologie pendant le traitement par le felbamate.
Diminution de l'efficacité du progestatif, par augmentation de son métabolisme hépatique par le millepertuis.
+ TRIPTANS NON MÉTABOLISÉS PAR LA MAO
(ciprofloxacine, enoxacine, fleroxacine, gemifloxacine, levofloxacine, lomefloxacine, moxifloxacine, norfloxacine, ofloxacine, pefloxacine) Risque d'hypertension artérielle, de vasoconstriction artérielle ANSM - Janvier 2014 K
(altretamine, amsacrin que ib, busulfan, cabaz ploi, carboplatine, carmustine, chlorambucil,
chlormethine, cisplatine, que. cyclophosphamide, cytarabine, dacarbazine, dactinomycine, daunorubicine, décitabine, docetaxel, doxorubicine, epirubicine, Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie INIB , etoposide, fludarabine, fluorouracile, fotemustine, gemcitabine, hydroxycarbamide, idarubicine, ifosfamide, irinotecan, lomustine, melphalan,
de l'antivitamine K pendant le traitement par la fluoroquinolone et après mercaptopurine, methotrexate, miltefosine, mitoguazone, mitomycine c, mitoxantrone, oxaliplatine, paclitaxel, pentostatine, pipobroman, pirarubicine, plicamycine, Voir aussi : inhibiteurs des tyrosine kinases - substrats à risque du CYP3A4 procarbazine, raltitrexed, streptozocine, tegafur, temozolomide, thiotepa, tioguanine, topotecane, vinblastine, vincristine, vindesine, vinorelbine) + HORMONES THYROÏDIENNES
+ ANTIVITAMINES K
Risque de baisse de l'efficacité des hormones thyroïdiennes.
A prendre en compte
Augmentation du risque thrombotique et hémorragique au cours ANSM - Janvier 2014 des affections tumorales. De surcroit, possible interaction entre les Contrôle plus fréquent de l'INR.
AVK et la chimiothérapie.
(ciclosporine, ever I ) e avec risque de syndrome lympho- A prendre en compte
+ JUS DE PAMPLEMOUSSE
Augmentation de la biodisponibilité de l'immunosuppresseur et par conséquent de ses effets indésirables.
+ PHÉNYTOÏNE (ET, PAR EXTRAPOLATION, FOSPHÉNYTOÏNE)
Risque de survenue de convulsions par diminution de l'absorption digestive de la seule phénytoïne par le cytotoxique, ou bien risque + AZATHIOPRINEde majoration de la toxicité ou de perte d'efficacité du cytotoxique
avec ris ique par l ru d'infecti toïne A prendre en compte
+ VACCIN ANTIAMARILE
Risque de maladie vaccinale généralisée mortelle.
Augmentation des concentrations sanguines de l'immunosuppresseur (notable pour la ciclosporine, extrêmement Dosage des concentrations sanguines de l'immunosuppresseur, importante pour le tacrolimus).
contrôle de la fonction rénale et adaptation de sa posologie pendant + VACCINS VIVANTS ATTÉNUÉS (SAUF ANTIAMARILE)
l'association et après son arrêt.
Risque de maladie vaccinale généralisée éventuellement mortelle. + CLARITHROM C
Y e ri
CI sque es
t majoré chez les sujets déjà immunodéprimés par la Utiliser un vaccin inactivé lorsqu'il existe (poliomyélite).
Augmentation très importante des concentrations sanguines de l'immunosuppresseur par inhibition de son métabolisme hépatique.
En cas d'association, contrôle strict de la fonction rénale, dosage des concentrations sanguines de l'immunosuppresseur et adaptation ANSM - Janvier 2014 éventuelle de la posologie.
Immunodépression excessive avec risque de syndrome lympho- A prendre en compte
ANSM - Janvier 2014 + INDUCTEURS ENZYMATIQUES
Diminution des concentrations plasmatiques de méthadone avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage, par augmentation de Augmenter la fréquence des prises de méthadone (2 à 3 fois par jour au son métabolisme hépatique.
lieu d'une fois par jour).
+ INHIBITEURS DE PROTÉASES BOOSTÉS PAR RITONAVIR
Diminution des concentrations plasmatiques de méthadone avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage par augmentation de Surveillance clinique régulière et adaptation éventuelle de la posologie son métabolisme hépatique par le ritonavir.
de méthadone.
+ MÉDICAMENTS SUSCEPTIBLES DE DONNER DES TORSADES DE POINTES
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Sauf avec le citalopram et l'escitalopram (contre-indiqués).
Diminution de l'effet de la méthadone par blocage compétitif des Diminution des concentrations plasmatiques de méthadone avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage par augmentation de Surveillance clinique régulière et adaptation éventuelle de la posologie 3 Intéractions médicamenteuses : mise à jour son métabolisme hépatique par le nelfinavir.
de méthadone.
ANSM janvier 2014 Précipitation cristalline dans les voies urinaires (favorisée par l'acidification des urines).
Voir aussi : cytotoxiques - médicaments néphrotoxiques + ACIDE ACETYLSALICYLIQUE
Majoration de la toxicité, notamment hématologique, du méthotrexate (diminution de sa clairance rénale par l'acide Avec le méthotrexate utilisé à des doses > 20 mg/semaine : - contre-indication avec l'acide acétylsalicylique utilisé à doses antalgiques, antipyrétiques ou anti-inflammatoires- précaution d'emploi avec des doses antiagrégantes plaquettaires d'acide acétylsalicylique. Contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les premières semaines de l'association. Surveillance accrue en cas d'altération (même légère) de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
Avec le méthotrexate utilisé à des doses =< 20 mg/semaine :- précaution d'emploi avec l'acide acétylsalicylique utilisé à doses antalgiques, antipyrétiques ou anti-inflammatoires. Contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les premières semaines de l'association. Surveillance accrue en cas d'altération (même légère) de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
Risque de majoration de l'hépatotoxicité du méthotrexate.
Si l'association est jugée nécessaire, renforcer la surveillance du bilan hépatique.
+ ANTI-INFLAMMATOIRES NON STÉROÏDIENS
Augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate CI - ASDEC - PE
(diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti- Association contre-indiquée avec : - la phénylbutazone, quelle que soit la dose de méthotrexate et pour toutes les formes de phénylbutazone, y compris locales.
Associations déconseillées:- avec les autres anti-inflammatoires non-stéroidiens et pour des doses de méthotrexate supérieures à 20 mg par semaine.
- avec le kétoprofène et le méthotrexate à des doses supérieures à 20 mg par semaines, respecter un intervalle d'au moins 12 heures entre l'arrêt ou le début d'un traitement par kétoprofène et la prise de méthotrexate.
Association nécessitant une précaution d'emploi :- avec les autres AINS et le méthotrexate utilisé à faibles doses (inférieures ou égales à 20 mg par semaine), contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les premières semaines de l'association. Surveillance accrue en cas d'altération (même légère) de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
ANSM - Janvier 2014 3 Intéractions médicamenteuses : mise à jour ANSM janvier 2014 N°8 Septembre 2014 + ANTISÉCRÉTOIRES INHIBITEURS DE LA POMPE À PROTONS
Risque d'augmentation de la toxicité du méthotrexate par ASDEC - APEC
diminution de son élimination.
Association déconseillée :- avec le méthotrexate aux doses > 20 mg / semaine A prendre en compte :- pour des doses inférieures Augmentation de la toxicité du méthotrexate et de la ciclosporine avec augmentation de la créatininémie : diminution réciproque des Dosage des concentrations sanguines de ciclosporine et de clairances des deux médicaments.
méthotrexate. Adaptation posologique si nécessaire pendant l'association et après son arrêt.
Augmentation de la toxicité du méthotrexate par inhibition de sa sécrétion tubulaire rénale par la ciprofloxacine.
Augmentation des concentrations plasmatiques de la buspirone par Augmentation des effets et de la toxicité hématologique du diminution de son métabolisme hépatique par le diltiazem, avec méthotrexate : inhibition de la sécrétion tubulaire rénale du Surveillance clinique et adaptation de la posologie de la buspirone si augmentation de ses effets indésirables.
méthotrexate par les pénicillines.
Augmentation des concentrations plasmatiques de la buspirone par Augmentation de la toxicité du méthotrexate : inhibition de la diminution de son métabolisme hépatique, avec majoration sécrétion tubulaire rénale du méthotrexate par le probénécide.
importante de la sédation.
+ SULFAMIDES ANTIBACTÉRIENS
Augmentation des concentrations plasmatiques de la buspirone par Augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate.
diminution de son métabolisme hépatique, avec majoration importante de la sédation.
Dosage des concentrations de méthotrexate. Adapatation posologique si nécessaire pendant l'association et après son arrêt.
Diminution des concentrations plasmatiques de la buspirone par Augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate augmentation de son métabolisme hépatique par la rifampicine.
(diminution de son excrétion rénale ainsi qu'inhibition de la Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de la buspirone pendant le traitement par rifampicine et après son arrêt.
METHYLDOPAAugmentation des concentrations plasmatiques de la buspirone par Précaution d'emploi
Voir aussi : antihypertenseurs centraux - antihypertenseurs sauf alpha-bloquants - médicaments sédatifs diminution de son métabolisme hépatique par le vérapamil, avec Surveillance clinique et adaptation de la posologie de la buspirone si + FER
augmentation de ses effets indésirables.
Diminution de l'absorption digestive de la méthyldopa (formation de Prendre les sels de fer à distance de la méthyldopa (plus de deux Voir aussi : cytotoxiques heures, si possible).
Avec le busulfan à fortes doses : doublement des concentrations Augmentation des effets de la lévodopa mais également de ses de busulfan par l'itraconazole.
effets indésirables. Majoration de l'effet antihypertenseur de la Surveillance clinique et éventuellement diminution des doses de Avec le busulfan à fortes doses : doublement des concentrations Augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs de busulfan par le métronidazole.
toxiques, avec signes de surdosage en lithium.
Surveillance clinique et adaptation de la posologie de lithium.
entation de la toxicité du méthotrexate : inhibition de la Voir aussi : cytotoxique hotrexate par le probénécide.
Voir aussi : alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs - substrats à risque du CYP3A4 + INDUCTEURS ENZYMATIQUES
Diminution des concentrations du cytotoxique par augmentation de A prendre en compte
PROCARBAZ Risque de v
asoconstriction coronaire pouvant être fatale.
son métabolisme par l'inducteur, avec risque de moindre efficacité.
Voir aussi : antabuse (réaction) - cytotoxiques + ANTICONVULSIVANTS INDUCTEURS ENZYMATIQUES
+ INHIBITEURS PUISSANTS DU CYP3A4
on des réactions d'hypersensibilité (hyperéosinophilie, A prendre en compte
Risque de majoration des effets indésirables dose-dépendants du rash), par augmentation du métabolisme de la procarbazine par Voir aussi : glucocorticoïdes (sauf hydrocortisone en traitement substitutif) - hypokaliémiants cabazitaxel par inhibition de son métabolisme par l'inhibiteur Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie du + ANTIVITAMINES K
cabazitaxel pendant le traitement par l'inhibiteur enzymatique.
PRODUITS DEPour des
STE5 à 1g de m
IODÉS éthylprednisolone administrées en
bolus : augmentation de l'effet de l'antivitamine K et du risque Contrôle de l'INR 2 à 4 jours après le bolus de méthylprednisolone ou (acide amidotrizoïque, acide ioxaglique, acide ioxitalamique, iobitridol, iodixanol, iohexol, iomeprol, iopamidol, iopentol, iopromide, ioversol) en présence de tous signes hémorragiques.
+ ALDESLEUKINE
+ CICLOSPORINEAugmentation des concentrations plasmatiques de caféine, par
A prendre en compte
Majoration du risque de réaction aux produits de contraste en cas A prendre en compte
diminution de son métabolisme hépatique.
antéri solone adm eur par interl inis A prendre en compte
e rénale. de la créatininémie. Mécanisme invoqué : diminution de l'élimination + DIPYRIDAMOL hépat
ique de la ciclosporine.
ANSM - Janvier 2014 Avec le dipyridamole par voie injectable : réduction de l'effet En cas de déshydratation provoquée par les diurétiques, risque vasodilatateur du dipyridamole par la caféine.
majoré d'insuffisance rénale fonctionnelle aiguë, en particulier lors Interrompre un traitement à base de caféine au moins 5 jours avant une Réhydratation avant administration du produit iodé.
d'utilisation de doses importantes de produits de contraste iodés.
imagerie myocardique avec le dipyridamole et éviter la consommation de café, thé, chocolat ou cola dans les 24 heures qui précèdent le test.
+ ENO
F ACI
OR NE
actique li concent Le traitement par la metformine doit être suspendu au moment de que. me hépatique.
l'examen radiologique pour n'être repris que 2 jours après.
RO I
G U
En cas d'arrêt brutal de la consommation de café ou de A prendre en compte
(cyproterone, desogestrel, dienogest, drospirenone, etonogestrel, levonorgestrel, lynestrenol, medroxyprogesterone, norethisterone, norgestrienone) médicaments contenant de la caféine, risque d'augmentation de la Risque de diminution de l'efficacité contraceptive par augmentation du métabolisme hépatique du contraceptif hormonal.
Utiliser une méthode contraceptive fiable, additionnelle ou alternative, pendant la durée de l'association et un cycle suivant.
ANSM - Janvier 2014 Risque de diminution de l'efficacité du contraceptif hormonal par augmentation de son métabolisme hépatique.
Utiliser de préférence une autre méthode contraceptive, en particulier de type mécanique, pendant la durée de l'association et un cycle suivant.
+ INDUCTEURS ENZYMATIQUES
Diminution de l'efficacité contraceptive du contraceptif hormonal, par augmentation de son métabolisme hépatique par l'inducteur.
Utiliser de préférence une autre méthode contraceptive, en particulier de type mécanique, pendant la durée de l'association et un cycle suivant.
+ INHIBITEURS DE PROTÉASES BOOSTÉS PAR RITONAVIR
Risque de diminution de l'efficacité contraceptive par diminution des concentrations en contraceptif hormonal, dûe à l'augmentation Utiliser de préférence une autre méthode contraceptive, en particulier de son métabolisme hépatique par le ritonavir.
de type mécanique (préservatif ou stérilet), pendant la durée de l'association et un cycle suivant.
Diminution des concentrations plasmatiques du contraceptif hormonal, en raison de l'effet inducteur enzymatique du millepertuis, avec risque de baisse d'efficacité voire d'annulation de l'effet dont les conséquences peuvent être éventuellement graves (survenue d'une grossesse).
Risque de diminution de l'efficacité contraceptive par diminution des concentrations en contraceptif hormonal.
Utiliser de préférence une autre méthode contraceptive, en particulier de type mécanique (préservatif ou stérilet), pendant la durée de l'association et un cycle suivant.
Pour des doses de pérampanel >= 12 mg/jour : Risque de diminution de l'efficacité contraceptive.
Utiliser de préférence une autre méthode contraceptive, en particulier de type mécanique.
Risque d'antagonisme des effets du progestatif.
Ne pas reprendre un traitement progestatif moins de 12 jours après l'arrêt de l'ulipristal.
ANSM - Janvier 2014 3 Intéractions médicamenteuses : mise à jour ANSM janvier 2014 Risque de majoration des effets indésirables de la méquitazine, par inhibition de son métabolisme par l'inhibiteur enzymatique.
Voir aussi : cytotoxiques + ANTIVITAMINES K
Diminution des concentrations sanguines de ciclosporine par Diminution de l'effet de l'antivitamine K par augmentation de son augmentation de son métabolisme par la sulfinpyrazone.
Contrôle des concentrations sanguines de ciclosporine et adaptation Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie éventuelle de sa posologie pendant le traitement par sulfinpyrazone et de l'antivitamine K à la mise en route du traitement par après son arrêt.
+ ANTIVITAMINES K
l'immunosuppresseur (ou le cytotoxique) et après son arrêt.
Augmentation de l'effet de l'antivitamine K et du risque S
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IRIDE L'ACIDE AMINOSALICYLIQUE (ASA)
Voir aussi : médic Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie es - médicaments s A
s à l'origine d'une hypotension orthostatique - neuroleptiques - n de l'antivitamine K pendant le traitement par la colchicine et 8 jours neurole ique par l usceptibles de donner des torsades de pointes après son arrêt.
dérivé de l'ASA, notamment chez les sujets présentant un déficit iel en thiopurine méthyltransférase (TPMT).
Diminution de l'absorption digestive du sulpiride.
+ INHIBITEURS DE
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que d' NT
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effets A
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ndésirables neuromusculaires et Prendre le sucralfate à distance du sulpiride (plus de 2 heures, si augmentation de la toxicité de la colchicine avec risque de Insuffisance médullaire réversible mais éventuellement grave e). on DECONSEILLEE
surdosage par inhibition de son élimination par la ciclosporine, (surdosage par diminution du métabolisme hépatique de la notamment en cas d'insuffisance rénale préexistante.
Surveillance hématologique renforcée et adaptation de la posologie de la mercaptopurine.
que de majoration des effets indésirables musculaires de ces substances, et notamment de rhabdomyolyse.
Risque de vasoconstriction coronaire pouvant être fatale.
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que et biologique, particulièrement au début de + ALCOOL (BOISSON OU EXCIPIENT)
Risque majoré d'acidose lactique lors d'intoxication alcoolique + INHIBITEURS aiguë,
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Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de Risque de majoration des effets indésirables musculaires de ces substances, et notamment de rhabdomyolyse.
Voir aussi : inhibiteurs des tyrosine kinases - substrats à risque du CYP3A4 Surveillance clinique et biologique, notamment au début de l'association.
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sevelam, colestilan, colestyramine, poly (styrenesulfonate de calcium), sevelamer) + HORMONES THYROÏDIENNES
+ MÉDICAMENT Acidos
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La prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale ine lorsque la créatininémie dépasse 15 mg/l ati/l) chez
g/l (110 µmol/l) chez la femme.
D'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de équences. potentiellement fatales.
celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 + PRODUITS DE CONTRASTE IODÉS
heures, si possible.
NIUMe lactique liée aux concentrations élevées de metformine en
+ HORMONES THYROÏDIENNES
+ MACROLIDES rapport
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e fonctionnelle induite par l'examen Voir aussi : curares Le traitement par la metformine doit être suspendu au moment de on de l'absorption digestive des hormones thyroïdiennes.
Augmentation des effets indésirables de la colchicine, aux CONTen radi
NDI ogique pour n'
être repris que 2 jours après.
Prendre les hormones thyroïdiennes à distance de la résine (plus de 2 Vesanoid® conséquences potentiellement fatales.
heures, si possible).
METHADONE Risque d'allongement du bloc moteur, majoré en cas de déficit
A prendre en compte
partiel en pseudocholinestérase.
Voir aussi : morphiniques - morphiniques en traitement de substitution - médicaments susceptibles de donner des torsades de pointes - médicaments sédatifs - P di
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Eors du sevrage tabagique
(acitretine, alitretinoine, etretinate, isotretinoine, trétinoïne) Augmentation des effets indésirables de la colchicine aux + AMPRÉNAVIR (ET, PAR EXTRAPOLATION, FOSAMPRÉNAVIR)
SYMPATHOMIMÉTIQUES ALPHA (VOIES ORALE ET/OU NASALE)
+ AUTRES RÉTINO
équences potentiellement fatales.
Diminution des concentrations plasmatiques de méthadone avec (etilefrine, midodrine, naphazoline, oxymetazoline, phenylephrine, synephrine, tetryzoline, tuaminoheptane, tymazoline) Surveillance clinique régulière et adaptation éventuelle de la posologie + ALCALOÏDES s
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O m
T e hépat
E SEIGLE D 'am
de méthadone.
+ TELAPREVIR Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
Risque de majoration des effets indésirables de la colchicine, par + ANTITUSSIFS MORPHINE-LIKE
diminution de son métabolisme.
En particulier chez l'insuffisant rénal et hépatique.
Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en A prendre en compte
+ ALCALOÏDES DE L'ERGOT DE SEIGLE VASOCONSTRICTEURS
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
Risque de majoration des effets indésirables de la colchicine, par + ANTITUSSIFS MORPHINIQUES VRAIS
+ VITAMINE A
augmentation de ses concentrations plasmatiques par le vérapamil.
Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en A prendre en compte
que de sy age.
mptômes évocateurs d'une hypervitaminose A.
+ IMAO IRRÉVERSIBLES
Crises hypertensives (inhibition du métabolisme des amines + B
ir C
a EPR
ussi : EVI
ques a durée d'action de l'IMAO, cette interaction est encore possible 15 jours après l'arrêt de l'IMAO.
Diminution des concentrations plasmatiques de méthadone, avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage, par augmentation de + AZATHIOPRINEPotentialisation des curares lorque l'antibiotique est administré par
e que régul
ière et adaptation éventuelle de la posologie UE i
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INe hépat
Cque par l
e bocéprévir.
voie parentérale et/ou péritonéale avant, pendant ou après l'agent de méthadone.
Risque majoré d'effets indésirables hématologiques graves, par e degré de c ILLE
ation en fin d'anesthésie.
urarisant. asoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
inhibition du métabolisme de l'azathioprine par la ribavirine.
Augmentation des concentrations plasmatiques de méthadone avec surdosage et risque majoré d'allongement de l'intervalle QT et Surveillance clinique et électrocardiographique renforcée ; si besoin, adyc Iardisants - inhibiteurs des tyrosine kinases
VOI orsades
adaptation de la posologie de la méthadone pendant le traitement par la que de majoration de la toxicité mitochondriale de la didanosine + SUBSTRATS À RISQUE DU CYP3A4
cimétidine et après son arrêt.
(adrenaline, dopamine, noradrenaline, norepinephrine) par augmentation de son métabolite actif.
+ FLUVOXAMINERisque de majoration de la toxicité de ces molécules par diminution
+ ANESTHÉSIQUES VOLATILS HALOGÉNÉS
de leur métabolisme et/ou augmentation de leur biodisponibilité par Augmentation des concentrations plasmatiques de méthadone thme ventriculaire graves par augmentation de avec surdosage et risque majoré d'allongement de l'intervalle QT et Surveillance clinique et électrocardiographique renforcée ; si besoin, de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de Risque de diminution de l'efficacité de chaque antiviral, par ution d' a pos
oi ogie de la méthadone pendant le traitement par la
antagonisme compétitif de la réaction de phosphorylation à l'origine fluvoxamine et après son arrêt.
Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en début des métabolites actifs.
ANSM - Janvier 2014 Hypertension paroxystique avec possibilité de troubles du rythme (inhibition de l'entrée du sympathomimétique dans la fibre sympathique).
Risque de diminution de l'efficacité de chaque antiviral, par antagonisme compétitif de la réaction de phosphorylation à l'origine Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en début des métabolites actifs.
ANSM - Janvier 2014 Voir aussi : inducteurs enzymatiques Diminution modérée des concentrations plasmatiques A prendre en compte
d'atovaquone par l'inducteur enzymatique.
ANSM - Janvier 2014 Risque d'augmentation des effets indésirables de la rifabutine (uvéites) par augmentation de ses concentrations et de celle de Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en début son métabolite actif par la clarithromycine. De plus, augmentation du métabolisme de la clarithromycine par la rifabutine, avec augmentation des concentrations de son métabolite actif.
Augmentation très importante du métabolite de la rifabutine, avec risque de majoration de sa toxicité (uvéites, neutropénies). Par Adaptation de la posologie de la rifabutine (en principe, réduction des ailleurs, possible diminution des concentrations de cobicistat.
doses de moitié).
ANSM - Janvier 2014 3 Intéractions médicamenteuses : mise à jour ANSM janvier 2014 N°8 Septembre 2014 FE om
R breux médicaments peuvent entraîner une bradycardie. C'est le cas notamment des antiarythmiques de classe Ia, des bêta-bloquants, de certains
antiarythmiques de classe III, de certains antagonistes du calcium, des digitaliques, de la pilocarpine, des anticholinestérasiques… etc.
Diminution de l'absorption digestive des fluoroquinolones.
(acebutolol, ambenonium, amiodarone, atenolol, befunolol, betaxolol, bisoprolol, carteolol, car diltiazem, disopyramide, donepezil, dronedarone, esmolol, fampridines, fingolimod, galantamine, gua e). roquinidine, ivabradine, labetalol, levobunolol, mefloquine, metipranolol, metoprolol, nadolol, nadoxolol, nebivolol, neostigmine, oxprenolol, pasiréotide, pilocarpine, pindolol, propranolol, pyridostigmine, quinidine, r UC in
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on du risque de tendinopathie, voire de rupture A prendre en compte
tendineuse (exceptionnelle), particulièrement chez les patients Risque de bradycardie excessive (addition des effets).
A prendre en compte
recevant une corticothérapie prolongée.
+ MYCOPHENOLATE MOFETIL
+ FIN
Diminution des concentrations de l'acide mycophénolique d'environ A prendre en compte
un tiers, avec risque potentiel de baisse d'efficacité.
conséquences fatales. Les bêta-bloquants sont d'autant plus à Surveillance clinique et ECG continu pendant les 24 heures suivant la risque qu'ils empêchent les mécanismes de compensation première dose.
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minuti ajoré de t on de prèsroubles um à distance des fluoroquinolones (plus de deux heures, si possible).
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CINEE Diminution de l'absorption digestive des fluoroquinolone.
Voir aussi : fluoro cardie excessive (addition des effets rendre l e e
e à distance des fluoroquinolone (plus de 2 heures, si possible).
Augmentation des concentrations plasmatiques de caféine, entraî 'absorpt son métabolisme hépatique.
Prendre les sels de zinc à distance des fluoroquinolones (plus de 2 Xeloda® orphiniques - morphiniques agonistes-antagonistes - morphiniques en traitement de substitution - médicaments sédatifs
heures, si possible).
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e hépati accélérat que par l' ion de s (capecitabine, fluorouracile, tegafur) métabolisme par l'inhibiteur de protéases.
+ ACIDE FOLINIQUE
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Potentialisation des effets, à la fois cytostatiques et indésirables, du A prendre en compte
appariti ion ou de di par additi fets de l ques. nhibition et accélération de son métabolisme par l'inhibiteur de protéases.
+ ANTIVITAMINES K
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e de l'effet de l'antivitamine K et du risque ugm a buprénorphi entation des cne ut auti e en c
re évitée, contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation de si ajoré de dépres gnes de surdos sion respi la posologie de l'antivitamine K pendant le traitement par le cytotoxique sme hépatique.
ni ent le rapport que et réducti bénéf et 8 jours après son arrêt.
par l' de la néc ne et ité de res après s pecter l on arrêt. es doses prescrites.
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Augmentation de la toxicité gastro-intestinale du fluorouracile.
A prendre en compte
ne par dimi ion des e. à la fois par inhibition et accélération de son métabolisme par l'inhibiteur de protéases.
NE ugmentation de la toxicité du fluoro-uracile par diminution de sa
A prendre en compte
Voir aussi : antipar A do de buprénorphi paminergiques - ne par di sédatifs P
rigine d'une hypotension orthostatique de son métabolisme hépatique, avec risque de majoration de ses Surveillance clinique et adaptation de la posologie de la buprénorphine + FER
pendant le traitement par l'inhibiteur et, le cas échéant, après son arrêt.
+ ORNIDAZOLE Diminution de l'absorption digestive de l'entacapone et du fer par
hélation de celui-ci par l'entacapone.
Augmentation de la toxicité du fluoro-uracile par diminution de sa rendre l e e
er à distance de l'entacapone (plus de 2 heures si e. ion des concentrations de buprénorphine par diminution de son métabolisme hépatique, avec risque de majoration de ses Surveillance clinique et adaptation de la posologie de la buprénorphine + IMAO IRR
SI s
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pendant le traitement par l'inhibiteur et, le cas échéant, après son arrêt.
FLUOXETINE Potentialisation des effets pharmacologiques, et notamment
vasopresseurs, des catécholamines par inhibition conjuguée de Voir aussi : hyponatrlémian e. s sélectifs de la recapture de la sérotonine - médicaments abaissant le seuil épileptogène - médicaments à l'origine d'un syndrome sérotoni R ajoration ou de diminution des effets de la A prendre en compte
buprénorphine, à la fois par inhibition et accélération de son ENZALUTAM m
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IDE abolisme par l'inhibiteur de protéases.
Risque d'augmentation des effets indésirables de l'atomoxétine, Voir aussi : inducteurs enzymatiques BUPROPIONE par diminution importante de son métabolisme hépatique.
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique et adaptation de la posologie de l'atomoxétine pendant le traitement par l'inhibiteur et Voir aussi : médicaments abaissant le seuil épileptogène - sympathomimétiques indirects Majoration de la fraction active de l'enzalutamide.
a on arrêt
ution d' .
Réduire la dose d'enzalutamide par deux en cas d'association au gemfibrozil.
Risque d'augmentation des effets indésirables de la clomipramine Augmentation des concentrations plasmatiques de carbamazépine par diminution de son métabolisme hépatique par le bupropion.
avec signes de surdosage.
Surveillance clinique. Si besoin, adaptation de la posologie de la Surveillance clinique, contrôle des concentrations plasmatiques de clomipramine pendant le traitement par le bupropion.
carbamazépine et réduction éventuelle de la posologie de la Voir aussi : antihypertenseurs sauf alpha-bloquants - diurétiques - diurétiques épargneurs hyponatrémiants 57 sérotoninergique et après son arrêt.
+ ANTAGONISTES DES RÉCEPTEURS DE L'ANGIOTENSINE II
Majoration du risque d'hyperkaliémie, notamment chez le sujet âgé.
ANSM - Janvier 2014 Contrôle strict de la kaliémie et de la fonction rénal ANSM - Janvier 2014 + INHIBITEURS DE L'ENZYME DE CONVERSION
Majoration du risque d'hyperkaliémie, notamment chez le sujet âgé.
Contrôle strict de la kaliémie et de la fonction rénale pendant l'association.
ANSM - Janvier 2014 3 Intéractions médicamenteuses : mise à jour ANSM janvier 2014 Certains médicaments ont la propriété d'activer considérablement certaines voies métaboliques hépatiques par induction enzymatique. Associés à des médicaments fortement métabolisés au niveau du foie, ils sont, de ce fait, en mesure d'en modifier les concentrations plasmatiques. Il peut s'ensuivre, dans la majorité des cas, une moindre activité des médicaments associés à l'inducteur, voire la formation de métabolites toxiques.
Les inducteurs enzymatiques à l'origine d'interactions cliniquement pertinentes sont notamment représentés par certains antiépileptiques, certains antituberculeux et antirétroviraux et le millepertuis (pour ce dernier, se reporter aux interactions qui lui sont propres).
Les médicaments dont l'efficacité peut être altérée sont nombreux : immunosuppresseurs, estroprogestatifs et progestatifs, inhibiteurs de protéase, anticoagulants oraux, glucocorticoïdes, hormones thyroïdiennes, antagonistes du calcium, isoniazide, théophylline, etc… (carbamazepine, dabrafénib, efavirenz, enzalutamide, fosphenytoine, nevirapine, oxcarbazepine, phenobarbital, phenytoine, primidone, rifabutine, rifampicine) Risque de diminution des concentrations plasmatiques de l'androgène et par conséquent de son efficacité, par augmentation Surveillance clinique et biologique pendant l'association et 1 à 2 de son métabolisme hépatique par l'inducteur.
semaines après l'arrêt de l'inducteur.
Diminution des concentrations du cytotoxique par augmentation de A prendre en compte
son métabolisme par l'inducteur, avec risque de moindre efficacité.
Diminution des concentrations du cytotoxique par augmentation de A prendre en compte
son métabolisme par l'inducteur, avec risque de moindre efficacité.
Diminution des concentrations du cytotoxique par augmentation de A prendre en compte
son métabolisme par l'inducteur, avec risque de moindre efficacité.
Diminution de l'efficacité contraceptive, par augmentation du métabolisme hépatique du contraceptif hormonal par l'inducteur.
Utiliser de préférence une autre méthode contraceptive, en particulier de type mécanique, pendant la durée de l'association et un cycle suivant.
Risque de diminution de l'efficacité de l'hydrocortisone (augmentation de son métabolisme) ; les conséquences sont Surveillance clinique et biologique ; adaptation de la posologie de graves lorsque l'hydrocortisone est administrée en traitement l'hydrocortisone pendant l'association et après l'arrêt de l'inducteur substitutif ou en cas de transplantation.
Diminution des concentrations sanguines et de l'efficacité de l'immunosuppresseur, par augmentation de son métabolisme Augmentation de la posologie de l'immunosuppresseur sous contrôle hépatique par l'inducteur.
des concentrations sanguines. Réduction de la posologie après l'arrêt de l'inducteur.
Diminution probable des concentrations plasmatiques du A prendre en compte
métabolite actif de l'irinotécan, avec risque d'échec du traitement cytotoxique.
Diminution importante des concentrations de l'ivacaftor, avec risque de perte d'efficacité.
Diminution des concentrations plasmatiques de méthadone avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage, par augmentation de Augmenter la fréquence des prises de méthadone (2 à 3 fois par jour au son métabolisme hépatique.
lieu d'une fois par jour).
Risque d'inefficacité de la miansérine.
+ PROGESTATIFS CONTRACEPTIFS
Diminution de l'efficacité contraceptive du contraceptif hormonal, par augmentation de son métabolisme hépatique par l'inducteur.
Utiliser de préférence une autre méthode contraceptive, en particulier de type mécanique, pendant la durée de l'association et un cycle suivant.
ANSM - Janvier 2014 Risque de survenue de crises convulsives, par diminution rapide des concentrations plasmatiques de l'acide valproïque, pouvant devenir indétectables.
+ PHÉNOBARBITAL (ET, PAR EXTRAPOLATION, PRIMIDONE)
Augmentation des concentrations plasmatiques du phénobarbital, avec signes de surdosages, par inhibition du métabolisme Surveillance clinique pendant les 15 premiers jours de l'association et hépatique, le plus souvent chez les enfants. De plus, diminution réduction immédiate des doses de phénobarbital dès l'apparition des des concentrations plasmatiques d'acide valproïque par signes de sédation, contrôler notamment les concentrations augmentation de son métabolisme hépatique par le phénobabital.
3 Intéractions médicamenteuses : mise à jour ANSM janvier 2014 + PHÉNYTOÏNE (ET, PAR EXTRAPOLATION, FO
Variation des concentrations plasmatiques O plasmatiques des deux anticonvulsivants.
N°8 Septembre 2014 risque de diminution des concentrations plasmatiques d'acide Surveillance clinique, dosages plasmatiques et adaptation éventuelle de valproïque par augmentation de son métabolisme hépatique par la la posologie des deux anticonvulsivants.
+ RIFAMPICINE
+ PROGESTATIFS NON CONTRACEPTIFS, ASSOCIÉS OU NON À UN ESTROGÈNE
Risque de survenue de crises convulsives, par augmentation du e par la rifampicine.
Surveillance clinique et biologique, et adaptation éventuelle de la Surv e de ll'inique et après s hormonal on arrêt. pendant l'administration de l'anticonvulsivant inducteur et après son arrêt.
+ RUFINAMIDE
+ SERTRALINE Possible augmentation des concentrations de rufinamide,
de 30 kg. seur.
Chez l'enfant de moins de 30 kg :ne pas dépasser la dose totale de 600 mg/j après la période de titration.
+ TOPIRAMATE
+ VÉMURAFÉNIBRisque de survenue d'hyperammoniémie ou d'encéphalopathie,
Surveillance clinique renforcée en début de traitement et contrôle biologique en cas de symptomatologie évocatrice.
INHIBITEURS DE LA PHOSPHODIESTERASE DE TYPE 5
Risque d'augmentation des effets indésirables, notamment (sildenafil, tadalafil, varde ogiques, de la zidovudine par diminution de son Surveillance clinique et biologique régulière. Un hémogramme à la métabolisme par l'acide valproïque.
recherche d'une anémie devrait être réalisé au cours des deux premiers + ALPHABLOQUANTS À VISÉE UROLOGIQUE
mois de l'association.
Risque d'hypotension orthostatique, notamment chez le sujet âgé.
ASDEC - PE
Association déconseillée :- avec la doxazosine Risque de diminution des concentrations du bupropion, avec augmentation de son métabolite actif et toxicité majorée.
- avec les autres alpha-bloquantsDébuter le traitement aux posologies minimales recommandées et adapter progressivement les doses si besoin.
+ ANT
RO PE
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S C P
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avec pour conséquence un risque d'inefficacité.
Association déconseillée :- avec la doxazosine Précaution d'emploi : - avec les autres alpha-bloquants Risque de diminution des concentrations de l'ifosfamide, avec A pre er le t
posologies minimales recommandées et augmentation de son métabolite actif et toxicité majorée.
adapter progressivement les doses si besoin.
ESSEU ion des
concentrations plasmatiques de l'inhibiteur de la PDE5, avec risque d'hypotension.
Débuter le traitement par l'inhibiteur de la PDE5 à la dose minimale.
Risque de diminution des concentrations des immunosuppresseurs, avec pour conséquence un risque d'inefficacité.
+ INDUCTEURS R
E is
N que de m
UE ion des
effets indésirables, notamment à type de vertiges ou de syncopes.
Risque de diminution des concentrations du vémurafénib, avec + DÉRIVÉS NITRÉS ET APPARENTÉS
+ THEOPHYLLIN R
E isque d'hypotension importante (effet synergique) pouvant
aggraver l'état d'ischémie myocardique et provoquer notamment un Augmentation importante des concentrations de théophylline, avec accident coronarien aigu.
risques de majoration de ses effets indésirables.
Surveillance clinique et adaptation de la posologie de la théophylline pendant le traitement par vémurafénib et après son arrêt.
Augmentation des concentrations plasmatiques de l'inhibiteur de la PDE5, avec risque d'hypotension.
Débuter le traitement par l'inhibiteur de la PDE5 à la dose minimale en cas d'association avec l'un de ces médicaments.
+ INHIBITEURS DE PROTÉASES BOOSTÉS PAR RITONAVIR
Augmentation importante des concentrations plasmatiques de CI - ASDEC
l'inhibiteur de la PDE5, avec risque d'hypotension sévère.
Contre-indication :- en cas d'hypertension artérielle pulmonaire ANSM - Janvier 2014 - avec le vardénafil et l'avanafil Association déconseillée :- ne pas dépasser la posologie minimale de sildénafil ou tadalafil toutes les 48 heures.
Augmentation (très importante pour l'avanafil et le vardénafil) des CI - ASDEC - PE
concentrations plasmatiques de l'IPDE5, avec risque d'hypotension Avec l'avanafil : contre-indication (sévère avec le vardénafil).
Avec le vardénafil :- Contre-indication chez l'homme > 75 ans. - Association déconseillée chez l'homme < ou = 75 ans.
Avec le sildénafil ou le tadalafil : précaution d'emploi- Débuter le traitement par l'inhibiteur de la PDE5 à la dose minimal cas d'association avec l'itraconazole.
ANSM - Janvier 2014 3 Intéractions médicamenteuses : mise à jour ANSM janvier 2014 + ANTICONVULSIVANTS INDUCTEURS ENZYMATIQUES
Diminution notable des concentrations plasmatiques de l'abiratérone, avec risque de moindre efficacité.
Risque d'augmentation des effets indésirables du flecaïnide, par diminution de son métabolisme hépatique par l'abiratérone.
Surveillance clinique. Si besoin, adaptation de la posologie du flécaïnide pendant le traitement par l'abiratérone.
Chez l'insuffisant cardiaque, risque d'augmentation des effets indésirables du métoprolol, par diminution de son métabolisme Surveillance clinique. Si besoin, adaptation de la posologie du hépatique par l'abiratérone.
métoprolol pendant le traitement par l'abiratérone.
Risque d'augmentation des effets indésirables de la propafénone, par diminution de son métabolisme hépatique par l'abiratérone.
Surveillance clinique. Si besoin, adaptation de la posologie de la propafénone pendant le traitement par l'abiratérone.
Diminution notable des concentrations plasmatiques de l'abiratérone, avec risque de moindre efficacité.
Voir aussi : alcalinisants urinaires Augmentation des concentrations plasmatiques de carbamazépine avec signes de surdosage.
Surveillance clinique et, si besoin, contrôle des concentrations plasmatiques de carbamazépine et réduction éventuelle de sa posologie.
Diminution de la lithémie avec risque de baisse de l'efficacité Surveillance stricte de la lithémie et adaptation éventuelle de la posologie du lithium.
+ FER
Diminution de l'absorption digestive de ces deux médicaments par A prendre en compte
chélation du fer.
Voir aussi : antiagrégants plaquettaires Majoration des événements hémorragiques.
+ ANTAGONISTES DES RÉCEPTEURS DE L'ANGIOTENSINE II
Pour des doses anti-inflammatoires d'acide acétylsalicylique (>= 1g par prise et/ou >= 3g par jour) ou pour des doses antalgiques ou Hydrater le malade et surveiller la fonction rénale en début de traitement.
antipyrétiques (>= 500 mg par prise et/ou < 3g par jour) : Insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté, par diminution de la filtration glomérulaire secondaire à une diminution de la synthèse des prostaglandines rénales. Par ailleurs, réduction de l'effet antihypertenseur.
ANSM - Janvier 2014 3 Intéractions médicamenteuses : mise à jour ANSM janvier 2014 4 Principaux effets secondaires et conduite à tenir PREVENTION / CONDUITE A TENIR
. Prévention.
. Traitement symptomatique par lopéramide.
. Réhydratation orale (Boire au moins 2 litres par jour (eau, thé, tisanes, cola, bouillons, boissons gazeuses). . Eviter café, les céréales, le pain complet, matières grasses, fruits frais , laitages et l'alcool.
. Privilégier les féculents (riz, pâtes, pommes de terre…), les carottes et les bananes.
. Fractionner l'alimentation (plusieurs repas légers, . Fractionner les repas.
. Consommer en petites quantités et manger lentement.
. Préférer les aliments faciles à digérer et éviter les aliments frits ou épicés.
. Boire peu pendant les repas et répartir les prises de boisson au cours de la journée.
. Boire lentement des boissons légèrement fraiches Nausées / vomissements ou à température ambiante et éviter les boissons trop froides ou trop chaudes.
. Traitements (selon le type): antiHT3, Primpéran®, Plitican®, corticoïdes, Tranxène®, Lexomil®… . En cas de vomissements, se rincer la bouche à l'eau froide et attendre 1 à 2 h avant de manger.
. Pratiquer une activité physique régulière.
. Privilégier les aliments riches en fibres (compote de pruneaux, fruits et légumes frais).
. Boire au moins 2 litres d'eau par jour.
. Bilan et soins dentaires au début du traitement.
. Hygiène dentaire.
- Utiliser une brosse à dents souple.
- Brossage des dents après chaque repas.
- Bains de bouche ± antiseptique ± bicarbonate. - Dentifrice sans menthol.
Mucites / stomatites . Privilégier une alimentation liquide, froide, dépourvue d'acidité (vinaigre, noix, gruyère, épices).
. Stimulants salivaires: Glaçons, S25, Artisial®.
. Chewing-gum non sucré.
Les inhibiteurs de zToxidermie grave : arrêt du ttt l'angiogénèse ou zPEAG zPurpura vasculaire « anti-angiogéniques » de Lyell cutanés Les inhibiteurs de zTroubles de la pigmentation zToxidermie grave : arrêt du ttt l'angiogénèse ou Éruptions zPEAG lichénoides ou psoriasiformes zPurpura vasculaire « anti-angiogéniques » zTroubles de la pigmentation zÉruptions lichénoides ou psoriasiformes Les inhibiteurs de l'angiogénèse ou « anti-angiogéniques »z Les inhibiteurs du vascular endothelial growth- Sorafénib Nexavar* Sunitinib Sutent* factor (VLes GF) : bevacizum de ab l'angiogénèse eurs multikinases bl récepteurs du VEGF: 4 Principaux effets secondaires et conduite à tenir z Les inhibiteurs du vascular endothelial growth- Érythème du visage Sunitinib Sutent* {Sunitinib fac utent*(VEGF) : bevacizumab Avastin* avar* eurs multikinases bloquant les Hémorragie sous récepteurs du VEGF: Érythème du visage PREVENTION / CONDUITE A TENIR
molécules induisent de {Sorafenib Nexavar* Hémorragie sous nombreux effets secondaires cutanés . Préconiser l'achat de perruques. z Pas observés avec le bevacizumab . Recommander au malade de se faire couper les z Ces 2 dernières molécules induisent de cheveux courts, la chute semblera moins spectaculaire.
Dépigmentation des nombreux effets secondaires cutanés . Eviter tout traitement agressif: couleur, permanente.
. En cas d'alopécie totale, laver, hydrater le cuir z Pas observés avec le bevacizumab chevelu glabre.
Dépigmentation des Présentations variées : inflammatoires (érythème, œdème), décollement (bulle), desquamation, hy- perkératose très fréquente avec une prédominance aux points d'appui.
L' apparition est précoce dans les 2 à 3 premières SYNDROMES MAINS / PIEDS semaines et l'évolution souvent favorable.
. Recherche d'une hyperkératose plantaire préexistante. Si nécessaire, pédicure.
. En cas d'apparition des ces symptômes, tremper les mains et les pieds dans l'eau fraîche, utilisation un savon surgras puis sécher sans frotter. . Éviter le soleil et toute exposition à la chaleur. ++ sorafénib (30 à 60%) / 2 à 3 semaines . Éviter les vêtements et les chaussures trop serrées. Préférer les chaussettes en coton aux chaussettes z ++ sorafénib (30 à 60%) / 2 à 3 semaines z Lésions hyperkératosiques bien limitées sur les zones de pression et de frottement / Le + souvent préexistantes . Éviter les tâches ménagères et les travaux irritants z Lésions hyperkératosiques bien limitées sur les zones
on ents concernés
pour les mains. Éviter les pansements adhésifs.
et de frottement / Le + souvent préexistantes TKI Anti VEGF et capécitabine z Aggravation : fissures, desquamation, inflammation,décollement Aggravation : fissures, desquamation, inflammation,décollement ►Les lésions modérées (grade 1 ou 2) sont traitées par l'application de topiques émollients (Dexe- z Composante neurologique : douloureux +++ ryl®, Cold Cream®,…) et/ou keratolytiques z Composante neurologique : douloureux +++ • Présentations variées : inflammatoires (érythème, œdème), décol ement (Xerial 50®,…) Des chaussures confortables voire des semelles dépendante dépendante (bulle), desquamation, hyperkératose très fréquente.
orthopédiques pourront être conseillées pour limi- ter les zones de frottement.
z Réintroduction Réintroduction : pas r • Prédominance aux points d'appui.
► Formes hyperkératosiques • Apparition précoce dans les 2 à 3 premières semaines.
• Modérées : émollients quotidiens keratolytiques à Lacouture ME oncologist. 2008.13:1001- Patiente sous Sutent* Lacouture ME oncologist. 2008.13:1001- l'urée (ex : Xerial® 30 ou 50, Akérat S®) • Évolution souvent favor • Sévères : Acide salicylique . 30 g Vaseline officinale . 100 g Éventuellement sous pansement occlusif la nuit.
►Formes inflammatoires : Dermocorticoïdes classe Lacouture ME. Analysis of dermatologic events in patients with I : exemple : bétaméthasone (ex : Diprolène®…) cancer treated with lapatinib. Breast Cancer Res Treat 2009 (éventuellement sous pansement occlusif) une fois par jour, en pommade si sec, en crème si humide.
►Formes associées (hyperkératosiques et inflamma- toire) : Alterner les traitements 1j/2.
6►Formes bulleuses : Perçage aseptique si douleur. Respect du toit de la bulle.
6Adaptation posologique du traitement en fonction de la sévérité.
Prévention
• Recherche d'une hyperkératose plantaire préexistante. Si nécessaire, pédicure.
• Conseils de chaussage : large, confortable.
Traitement
Formes hyperkératosiques
• Modérées : émollients quotidiens kératolytiques à l'urée - ex : Xerial® 30 ou 50, Akérat S®• Sévères : Acide salicylique . 30 g Vaseline officinale . 100 g Éventuellement sous pansement occlusif la nuit.
Formes inflammatoires : Dermocorticoïdes classe I : exemple : bétaméthasone (ex : Diprolène®…)
(éventuellement sous pansement occlusif) une fois par jour, en pommade si sec, en crème si humide.
Formes associées (hyperkératosique et inflammatoire)  Alterner les traitements 1j/2.
Formes bul euses : Perçage aseptique si douleur. Respect du toit de la bulle.
Adaptation posologique du traitement en fonction de la sévérité
Éruption acneiforme inflammatoire z Fréquent (80%) et précoce z Délai d'apparition fonction du mode d'administration: Éruption acneiforme (80%) z IV: dès les premiers joursz Per os: 8 à 10 j z Effet cutané dose dépendant 4 Principaux effets secondaires et conduite à tenir issure N°8 Septembre 2014 z Plus sévère avec les Anticps monoclonaux qu'avec les Perionyxis (10 à 20%) inhibiteurs de la tyrosine kinase Modification des cheveux et z Éruption prurigineuse , +/- douloureuse, papulo pustuleuse PREVENTION / CONDUITE A TENIR
L'EGFR exprimé sur les kératinocytes, les glandes eccrines et sébacées et le blocage de l'EGF-R va entrainer une action sur la différenciation des kératinocytes folliculaires et une pertur-bation du cycle pilaire et phanérien.
Plusieurs étapes :
1 à 3 semaines
éruption acnéiforme (80 %) 2 à 4 mois
xérose cutanée et fissure (35 %)périonyxis (10 à 20 %) > 4 mois
modification des cheveux et des cils (rare) Lavage avec du produit sans savon (crème hydratante).
Éviter l'exposition au soleil, et dans tous les cas utiliser une pro-tection solaire écran total.
Utiliser une crème de jour ou un maquillage sans parfum, hypoal- lergénique et spécial peau sensible (Dexeryl®) 2 fois par jour .
Traitement :
éruption acnéiforme
. Mesure de prévention.
. Metronidazole (Rosex®) 1 fois par jour.
. Formes inflammatoires du tronc : Peroxyde de benzole local (Cutacnyl® 10% Agera A. J Am Acad Dermatol 2006; 55: 657-670 1 fois par jour).
Robert C. Lancet Oncol 2005;6:491-500 C. Mateus rev med int 2009; 30: 401-10 . Mesure de prévention.
. Cycline per os (doxycycline) 100mg par Intermédiaire grade II jour pendant 1 mois puis 50 mg par jour.
. Dermocorticoide III : diprosone 1 fois par jour.
. Cycline per os (doxycycline 200 mg par jour).
Sévère Grade III IV . Betneval® crème.
. Diminution de la dose (Arrêt définitif rare).
Agera A. J Am Acad Dermatol 2006; 55: 657-670 C. Mateus rev med int 2009;30: 401-10 Agera A. J Am Acad Dermatol 2006; 55: 657-670 Érythème facial z Précocement en z Après 2 à 3 mois de traitement même temps que la z Prurigineuse et inconfortable z Diffuse, desquamative z Inconfort avec { TTT: émollients (Dexeryl){ Diprosone sur les zones sensation de cuisson z Dermite irritative et fissuraire (prédomine aux extrémités) z Ttt : Émollients { Ttt par Vitamine A (Avibon) Dermocorticoide : diprosone crème 1 Dexeryl 2 fois par jour C. Mateus la revue de med interne 2009; 30: 401-10 C. Mateus rev med interne 2009 30 401-10 Paronychies ou périonyxis Paronychies ou périonyxis 4 Principaux effets secondaires et conduite à tenir zEntre 2 et 4 mois z 10 à 25 % des patientsz Bourgeons charnus des bords latéraux des ongles des doigts ou PREVENTION / CONDUITE A TENIR
Érythème facial z Aseptique mais risques de après 2 à 3 mois de
S'améliorent ou disparaissent z Précocement en z Après 2 à 3 mois de traitement même temps que la z Prurigineuse et inconfortable Plusieurs sortes : z Mais récidivent volontiers z Diffuse, desquamative . Prurigineuse et inconfortable { TTT: émollients (Dexeryl) . Diffuse, desquamative z Inconfort avec { Diprosone sur les zones Utiliser des émollients (Dexeryl® sensation de cuisson 2 fois/j)) + Diprosone® sur les z Dermite irritative et fissuraire (prédomine aux extrémités) . Dermite irritative et fissuraire Modifications des cheveux et des cils Modifications des cheveux et des cils { Ttt par Vitamine A (Avibon) (prédomine aux extrémités) z Ttt : Émollients Dermocorticoide : diprosone crème 1 Traitement par Vitamine A (Avi- Dexeryl 2 fois par jour bon®) et Dermocorticoide : Di- prosone® crème une fois /jour.
C. Mateus la revue de med interne 2009; 30: 401-10 { Après 3 à 4 mois de traitement +++ erlotin .i Ma b teus rev med interne 2009 30 401-10 Paronychies ou périonyxis
{Trichomégalie ciliaire { Alopécie androgenique{ Modification du cheveux: {Pousse anarchique sous la duveteux, bouclés, difficile à Apparaissent entre 2 et 4 mois
après le début du traitement
{Cils invaginés ou chez 10 à 25 % des patients. recourbés vers la
zTtt geons charnus { Disparaît à l'arrêt du traitement des bords latéraux des ongles des { Épilation à la cire ou laser doigts ou des orteils es frot tements (port de chaussures importants de surinfection. Ils s'amé Paronychies ou périonyxis Paronychies ou périonyxis liorent , disparaissent mais récidivent C. Mateus rev med interne 2009 30 401-10 Soins de pédicurie avant traitement C. Mateus rev med interne 2009;30: 401-10 . Traitement préventif : Eviter les frottements (port de z 10 à 25 % des patients chaussures ouvertes ou lar eptique : bain de pieds antiseptique Soins de pédicurie avant traitement z Bourgeons charnus des bords . Traitement curatif : {Si douloureux : latéraux des ongles des doigts ou Antiseptique : bain + DCT classe IV(dermoval 1 fois par septique ou compresses z Aseptique mais risques de de Dakin® matin et soir.
C. Mateus rev med interne 2009;30:401-10 Si douloureux : antiseptique + z S'améliorent ou disparaissent Dermoval ®1 fois/ jour.
z Mais récidivent volontiers Modification des cheveux et des cils
zMucites avec aphtes Après 3 à 4 mois de traitement Modification du cheveux: duve- zMuqueuse buccale ou nasale teux, bouclés, difficile à coiffer zGétinib, erlotinib, cétuximab Disparaît à l'arrêt du traitement Épilation à la cire ou laserz Pas dose dépendant Cils :Il s'agit de Trichomégalie ciliaire Paronychies ou périonyxis avec pousse anarchique sous la zTtt : soin bain de bouche antiseptique forme d'amas de cils ou Cils invagi-nés ou recourbés vers la conjonctive Traitement: couper les cils {Eviter les frottements (port de chaussures ouvertes ou larges) Robert C. Lancet Oncol 2005;6:491-500 {Soins de pédicurie avant traitement {Antiseptique : bain de pieds antiseptique{Si douloureux : zantiseptique + DCT classe IV(dermoval 1 fois par C. Mateus rev med interne 2009;30:401-10 Les inhibiteurs du récepteur du platelet derived growth zÉruption maculo papuleuse factor (PDGF) zŒdème périorbitaire Imatinib Glivec* et analogues zDose dépendant z15 jours après le début du traitement zS'estompe progressivement zPas ttt ou anti H1 ou corticoide 4 Principaux effets secondaires et conduite à tenir . UNIVERSITÉ JOSEPH FOURIER / FACULTÉ DE PHARMACIE DE GRENOBLE Année : 2010 Accompagnement des patients traités par anticancéreux oraux : Quel(s) outil(s) pour les professionnels de santé en ville ? THÈSE PRESENTÉE POUR L'OBTENTION DU TITRE DE DOCTEUR EN PHARMA-CIE DIPLOME D'ÉTAT Laurent Giulietti . L'ETP EN CANCEROLOGIE Isabelle VAN PRAAGH-DOREAU et Régine CHEVRIER ONCAUVERGNE . Chimiothérapies orales Mythes et réalités Mikaël Daouphars –Centre Henri Becquerel . Fiches professionnelles de santé OMEDIT Haute Normandie . Guide de bonnes pratiques Voies orales anticancéreuses ONCOBRETAGNE. Aide au bon usage des anticancéreux oraux- OMEDIT CENTRE. Toxicité cutanée des thérapies ciblées utilisées en cancérologie /25 Sept 2009 /Laure Darrieux dermatologie Corinne Alleaume, oncologie . La gestion des toxicités des thérapies ciblées en oncologie gynécologique / Elodie Coquan, Centre François Baclesse Caen / 5èmes journées interrégionales gynéco-sénologie Saint-Malo,11/05/2012 . Effets indésirables cutanés des nouvelles thérapies ciblées antinéoplasiques: spectre clinique et conduite à tenir/Revues générales Cancérologie/ Réalités thérapeutiques en dermato-vénérologie 225_septembre . www.ema.europa.eu. www.ansm.sante.fr. www.has-sante.fr. www.vidal.fr N°8 Septembre 2014 Edité par la CAHPP 20/22 rue Richer 75009 Paris Tirage : 2500 exemplaires Directeur de la publication : Yvon BERTEL VENEZIA Rédacteur en chef : Sandra PETIT avec la participation de Florence CASTALDO Comité scientifique : Bernard CALAS, Violaine FAJOLLE, Frédéric SUBERVILLE Conception : Olivier MARQUET Pour tous renseignements : Sandra PETIT 01 55 33 60 73 [email protected] Un regard différent.
Nous souhaitons devenir le partenaire incontournable de votre structure ; c'est la raison pour laquelle, chaque jour, nos équipes se mettent à votre service pour vous apporter des réponses pertinentes. Nous développons des solutions pérennes, innovantes et à forte valeur ajoutée car notre conception d'un partenariat réussi s'inscrit dans un schéma très simple : il consiste à se joindre à vous, non pas pour vous orienter vers une direction que nous aurions préalablement définie, mais bien pour aller où vous le désirez, en veillant sur vous, et en vous soutenant pour donner une réelle signification à votre démarche.
Vous êtes unique, nous portons un regard différent sur votre activité.
conseil & référencement pour l'hospitalisation 20/22 rue Richer - 75009 Paris 01 55 33 60 00 www.cahpp.fr

Source: http://www.iuct-oncopole.fr/documents/20049/1904385/STDC-Fournisseurs-onco-news-8_0914-1.pdf/b07f58d6-c2d3-4acd-b8fc-7f298cc780d7

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Environmental Impacts Assessment (EIA - Study Report) Sequential Aerosol Technique Applications (SAT Application) Meru Conservation Area Ministry Of Livestock Development Kenya Tsetse and Trypanosomiasis Eradication Council Joseph M. Maitima PhD NEMA Lead Expert Reg. No. 2815 P.O Box 50901-00200 Nairobi Tel: 0733 255 739 Vincent Owino Oduor Company registration No. 1541

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Université catholique de Louvain DEPARTEMENT DES SCIENCES POLITIQUES ET SOCIALES L'IMPACT DE LA DECENTRALISATION SUR LES SERVICES DE BASE QUE SONT L'EDUCATION PRIMAIRE, LA FOURNITURE D'EAU POTABLE ET LES SERVICES DE SANTE AUJOURD'HUI EN AFRIQUE FRANCOPHONE DE L'OUEST ET PLUS PARTICULIEREMENT AU BENIN